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| − | amincissant en certains points la couche déjà formée pour reporter toute sa puissance d'autres points. Il faut en outre que ces pressions aient été bien considérables | + | amincissant en certains points la couche déjà formée pour reporter toute sa puissance d'autres points. Il faut en outre que ces pressions aient été bien considérables pour avoir fait paraître complètement la couche sur plusieurs mètres de longueur . Encore faudrait-il que les amas se trouvent sur le prolongement l'un de l'autre de manière à pouvoir être regardés comme des témois d'une même couche . Or cela n'a nullement lieu à Gulberg. |
| − | Mais quand même M. Helland aurait expliquer les branchements | + | |
| − | La on l'a vu quand on enlève le Skjolen on constate que les schistes sont coupés par le gîte et ce n'est pas sous un angle | + | Mais quand même M. Helland aurait expliquer les branchements de Kulleseidkanal , les bifurcations de Grimeli , de Vignoes de Poldalen , de Store Grube les amas de Galdberg et de Vignoes , il viendrait encore se heurter au fait brutal de Kongem Grube. |
| − | Si M . Helland est incapable d'expliquer les exceptions ; M Kjerulf au contraire rendra | + | La on l'a vu quand on enlève le Skjolen on constate que les schistes sont coupés par le gîte et ce n'est pas sous un angle de 50°. Toutes les hypothèses du monde seront impuissantes à expliquer un fait pareil. . |
| − | 11° Des coupes doivent attirer l'attention sont celles de Poldalem; là on voit la couche (ou le filon) arrivé au contact d'une colonne de granulite se | + | |
| + | Si M . Helland est incapable d'expliquer les exceptions ; M Kjerulf au contraire rendra facilement compte des faits réguliers . Les schistes en effet étant très durs ont dû se briser plus facilement suivant la schistosité . Ce fait est i une simple hypothèse ? Pas du tout ; car on observe le même fait pour le gabbro dont l'origine éruptive n'est pourtant pas douteux . Il est très souvent en filons couches parallèles aux schistes. On le voit suivre la stratification à Herte Klitten; il est nettement parallèle au gîte à Draget . De même on trouve à Gremeli un banc de quartz qui suit les schistes sur une certaine étendue. Il est pourtant éruptif; car un peu plus loin , il les coupe sous un angle très aigu, c'est vrai ; mais il les coupe. On voit donc que la plupart des roches éruptives sont interstratifiées . Pourquoi n'en serait-il pas de même de la pyrite. | ||
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| + | 11° Des coupes doivent attirer l'attention sont celles de Poldalem; là on voit la couche (ou le filon) arrivé au contact d'une colonne de granulite se bifurquer et s'écarter en deux branches . Comment cette granularité qui est postérieure aux schistes d'admettre que la fissure produite dans les roches encaissantes par les actions éruptives arrivant au contact d'une roche plus dure s'est dérivée en se bifurquant et c'est poursuivie à travers les schistes | ||
Version actuelle en date du 29 juillet 2020 à 10:16
amincissant en certains points la couche déjà formée pour reporter toute sa puissance d'autres points. Il faut en outre que ces pressions aient été bien considérables pour avoir fait paraître complètement la couche sur plusieurs mètres de longueur . Encore faudrait-il que les amas se trouvent sur le prolongement l'un de l'autre de manière à pouvoir être regardés comme des témois d'une même couche . Or cela n'a nullement lieu à Gulberg.
Mais quand même M. Helland aurait expliquer les branchements de Kulleseidkanal , les bifurcations de Grimeli , de Vignoes de Poldalen , de Store Grube les amas de Galdberg et de Vignoes , il viendrait encore se heurter au fait brutal de Kongem Grube. La on l'a vu quand on enlève le Skjolen on constate que les schistes sont coupés par le gîte et ce n'est pas sous un angle de 50°. Toutes les hypothèses du monde seront impuissantes à expliquer un fait pareil. .
Si M . Helland est incapable d'expliquer les exceptions ; M Kjerulf au contraire rendra facilement compte des faits réguliers . Les schistes en effet étant très durs ont dû se briser plus facilement suivant la schistosité . Ce fait est i une simple hypothèse ? Pas du tout ; car on observe le même fait pour le gabbro dont l'origine éruptive n'est pourtant pas douteux . Il est très souvent en filons couches parallèles aux schistes. On le voit suivre la stratification à Herte Klitten; il est nettement parallèle au gîte à Draget . De même on trouve à Gremeli un banc de quartz qui suit les schistes sur une certaine étendue. Il est pourtant éruptif; car un peu plus loin , il les coupe sous un angle très aigu, c'est vrai ; mais il les coupe. On voit donc que la plupart des roches éruptives sont interstratifiées . Pourquoi n'en serait-il pas de même de la pyrite.
11° Des coupes doivent attirer l'attention sont celles de Poldalem; là on voit la couche (ou le filon) arrivé au contact d'une colonne de granulite se bifurquer et s'écarter en deux branches . Comment cette granularité qui est postérieure aux schistes d'admettre que la fissure produite dans les roches encaissantes par les actions éruptives arrivant au contact d'une roche plus dure s'est dérivée en se bifurquant et c'est poursuivie à travers les schistes
