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| − | au granite qu'aux amphibolites et je dois avouer que je suis complètement de son avis. | + | au granite qu'aux amphibolites et je dois avouer que je suis complètement de son avis. Au reste le quartz est non seulement fort abondant à Paullaouen dans les filons plombifères mais encore il forme exclusivement une foule de filons stériles, de petites veines irrégulières et de ganglions isolés. Ainsi la vapeur d'eau en pénétrant du granite dans les terrains schisteux a du y introduire de la silice tantôt sous forme de source, tantôt sous forme de gelée et presque toujours simultanément sous les deux états de là cette association si fréquente de quartz amorphe et du quartz cristallin. |
| + | Ces quartz, déjà si abondants autour de Paullaouen le sont encore plus dans les terrains schisteux qui enveloppent les massifs granitiques du Pilas, du Forez et du Beaujolais. Non seulement on y trouve une quantité énorme de ganglions décrits avec soin par M Fournet, dans les Annales de la Ste de Lyon mais encore une foule de grands filons. Vous en avez cité quelques uns d'après M Rozet ; qu'il me soit permis d'en mentionner plusieurs autres qui me paraissent aussi prouver d'une manière péremptoire que la silice n'a pu les remplir à l'état de pâte ignée. | ||
Version du 3 mai 2020 à 12:06
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au granite qu'aux amphibolites et je dois avouer que je suis complètement de son avis. Au reste le quartz est non seulement fort abondant à Paullaouen dans les filons plombifères mais encore il forme exclusivement une foule de filons stériles, de petites veines irrégulières et de ganglions isolés. Ainsi la vapeur d'eau en pénétrant du granite dans les terrains schisteux a du y introduire de la silice tantôt sous forme de source, tantôt sous forme de gelée et presque toujours simultanément sous les deux états de là cette association si fréquente de quartz amorphe et du quartz cristallin. Ces quartz, déjà si abondants autour de Paullaouen le sont encore plus dans les terrains schisteux qui enveloppent les massifs granitiques du Pilas, du Forez et du Beaujolais. Non seulement on y trouve une quantité énorme de ganglions décrits avec soin par M Fournet, dans les Annales de la Ste de Lyon mais encore une foule de grands filons. Vous en avez cité quelques uns d'après M Rozet ; qu'il me soit permis d'en mentionner plusieurs autres qui me paraissent aussi prouver d'une manière péremptoire que la silice n'a pu les remplir à l'état de pâte ignée.
