Annales des Mines (1828, série 2, volume 3)
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de se dissoudre dans les acides, 1°, en traitant un excès de molybdène par l'acide nitrique et précipitant la dissolution par l'ammoniaque ; 2°. en
dissolvant le molybdène dans de l'acide muriatique ou de l'acide sulfurique , auquel on ajoute de temps entemps un peu d'acide nitrique ; 3°. en faisant digérer de l'acide molybdique et du molybdène en poudre dans de l'acide muriatique, jusqu'à ce que la liqueur ait passé du bleu au rotige,hrun ytr°. en ajoutant à un mélange d'acije'lii.nlibdiqiie et d'acide muriatique du cuivre
EXTRAITS DE JOURDeAUX.
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mêlé de zinc. Ceux qui sont insolubles dans l'eau se dissolvent promptement dans les alcalis parce qu'alors ils se transforment en molyhdates. Les sels de molybdène ont une grande tendance à bleuir lorsqu'on les évapore à une chaleur trop élevée.
Le sulfate est rouge à l'état liquide, noir quand il a été desséché.
Sulrate.
Le nitrate se décompose par l'évaporation à siccité, l'oxide se transforme en a'eide- molyb-
INiamte.
que , pisqu'à ce que la dissolution de, métalli
dique. On obtient le perchlorure anhydre en faisant Peralorure
moniaqiie une solution de chlorure de molybdène. L'hydrate de deutoxide de molybdène est cou-
passer du chlore sur du molybdède méd..eque chauffé à une certaine température ; il y -d'Wa-
,
vienne rouge, etc. ; 5'. en précipitant par l'am-
leur de rouille ; il est un peu soluble dans l'eau et même dans l'alcool. La dissolution, verte d'abord , devient bientôt bleue , et se décolore ensuite tout-à7fait elle rougit k tournesol , son gain est légèrement astringent et métallique. La plupart des substances salines en précipitent l'hydrate: cet hydrate n'est. pas soluble dans les alcalis caustiques ; mais les carbonates alcalins, et sur-tout les in-carbonates, peuvent en dissoui dre une certaine quantité. Pour le changer en
,
.
oxidun, il faut le chauffer dans le vide, sans
quoi il sy,- formerait de l'oxide bleu. for'i'ire-aVec les acides de véritables sels. Ces comppsés..sont rouges lorsqu'ils contiennent de
l'eau de Crilellisation, et presque noirs quand ils en sonqïivés. L'infusion de noix de galle tique une couleur jaune de feu leur DD enti ru. Le prussiate de potasse les passa commiint précipite' enntilin foncé. Une laine de zinc les uoired et y FIlle des précipités noirs d'oxidule
bord inflammation, puis il se pi-Oint des vapeurs d'un rouge très-foncé,, qui Sie' condensent en cristaux d'un noir métalloïde, t4t-à-fUlt. semblables à l'iode. Le chlorure est trèsfisible volatil ; quand on l'expose à l'air; itfét'iani,l,We's e,e:mue. vapeurs , tombe eu déliquescence et 'devient successivement bleu, vert, rouë, et enfin jaki:ne. Use dissout dans l'eau avec violence, sans épt"ân-
ver de décomposition, et on peut le régénérer en évaporant la liqueur à sec. Quand on le tient dans un vase plein d'air, it absorbe de foxigène et se rec:tifir tance blanche, qui est du supe,«7ffijet de-1'411pdène, puisqu' en se dissolvant çht;iWa-u'ii lemsforme en acides molybdique e fmiriatiquer7"' Le perchlorure de molybdene.pe combine avec l'hydrochlorate d'ammoniaque 1,Vnaiie non pas avec les chlorures de 1-in: Lorsqu'on fait digérer de l'hyWatei.i.'d'eile l de o, Murure molybdène en excès avec img: disSeiltitton potassiunti.:1:cf4,,7d::-1de perchlorure , il se forme un oxicllorure tres-solubie et incristallisable.