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Annales des Mines (1834, série 3, volume 5)

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EXPLOITATION DES MINES. 362 roue hydraulique; soit sur Un arbre intermédiaire

entre celle-ci et le treuil ou bobine. ,Les roues d'engrenage .sont dans le même plati'i;ià. HuelFriendship; à fluel-Betsey, l'arbre de la roue étant placé au-dessous du niveau de l'orifice du puits; le mouvement de celle-ci est transmis au treuil, par l'intermédiaire, d'urr arbre: vertical,-et'.., de roues d'angle, montées sur cet arbre, et sur ceux de la roue et du treuil. Dans tous les cas, celui des paliers de l'arbre du treuil, qui se trouve du côté

de la roue d'engrenage, est posé surilextrémité du bras le plus coUrt, d'un long levier:horizontal en bois dont l'autre extrémité est chargée d'un contre-poids, faisant à peu.près équilibre à la charge que porte le palier. Al suffii:cainsi d'ap puyer. sur l'extrémité, du plus louglras, de le.

DU COI1NWALL ET DU DEVON.

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vitesse à la descente, qui demeure cependant très considérable, pour éviter les pertes de temps. A Huel-Betsey, le cuveau glisse en montant et

en descendant, sur le mur du puits creusé dans le filon. A Huel-Friendship le minerai est porté par un chariot montant sur un chemin do fer, clans une galerie inclinée, creusée dans le gîte , suivant une diagonale. 35. Les quantités d'eaux affluente, dans la plupart des mines du Cornwall et du Devonshire .so t très-considérables. Les difficultés ,,d'épuisement

croissant avec la profondeur des travaux souter-

rains, on les a surmontées, d'une part, en em-

ver, pour soulever le palier du treuil, et. le rendre

pêchant, autant que possible, les eaux des niveaux supérieurs de tomber au fond des travaux; d'autre part, en construisant des machines plus puissantes. Dans un petit nombre de localités, notamment

indépendant de la roue hydraulique; en désengrenant les roues dentées. Ainsorsque le, :cuveau ou charioCest:arrivé

à Huel-Friendship et Huel-Betsey, les pompes sont mues par de grandes roues en dessus, placées près de l'orifice des puifs. Mais en général la die

à l'orificeliwpuits ou de la galeriewile machinistc

culte, et souvent même l'impossibilité d'amener

soulèveleilevier, et ferme en: même tenipeda

des cours d'eaux assez considérables pour servir de moteurs, ou de construire des étangs ouTéservoits sembl ables à ceux qui fournissent les eaux moulées

vanne:.gni at-g,ène l'eau. alui la roue. Celle4ci'slar,4

tête, .4près avoir ,,ft,_eticbré-euviron tuit: touri à Sil mals le n'en itanAte. iitmné diat,ementb cuveau .; est :supe.iadkt ,

fi ce essu:nle.'i?orifieedu

puits, il redescend,- par ,S011...iiiTtrire, poids en

faisant tourner le treuil en,seris contraire.

4:7,41

modère la vitesse à I a,Alescentea, au liloyen alinn

à la plupart des mines métalliques d'Allemagne, ont obligé d'avoir recours à la puissance de la vapeur (1). Le grand jeter& que l'on a eu à ramener au minimum la consommation en houille, qui revient à plus de 2Mes i ookIogr.nendusaux mines;

frein plaajs1tuiI.. L'ouvri er--pl a cé sur, elp

puits vide lenuveau avec. des ' tienailles,,.à la me. Mère ordinake et le rejete extsui4 dans-Ie puits.

Aioreuit sutkO:deesexet 1e freiU,;pourpaeik 9iN0.4.4.u4esceride. pa.v soe-lp.poids jusques. awfond

Utt

Qcliee encore avec le frein 14

(t) tes eaux 7éOurantee sont si peu abandantes pies des pdx.wipaies.miues: de Cornwall, que l'on est souvent obligé 'élever au jotir,. au moyen des machines, les eaux nécesSaires au lavage des minerais, au lieu de les yet:ser dane

2

la 'galerie d'écoulement' P

Epuisement des eaux.