Annales des Mines (1838, série 3, volume 13)
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,.
ANALYSES
Eau
0 36200 0,11950
Silice Alumine
0,35504 0,11935
0,46300, 0,46284
DE SUBSTANCES MINÉRALES.
Silice. .
0,02950 0,02656 0,01298 0,01029
Peroxide de fer Chaux. Acide sulfurique. Oxide de cuivre
Alumine . Eau
.... .
0 00780 0,00482
0 00250 0,00250 0,99728 0,98140
Ce qui conduit à la formule : À:14
32. Sur une HALLOYSITE de Silésie ; par M. F. d'Erdmann, t. XiI, P. 173.) Glocker. Cette hallOysité a été trouvée auprès de Miechowitz dans la-haute Silésie ; elle offre des caractères
tellement semblables à ceux de flialloysite de Liége qu'il ne peut rester aucun doute sur l'identité de ces deuX.substances. L'hallovsite de Silésie se présente sous deux aspects différent; sous la fbrine de masses concrétionnées à cassure conchoïde, un peu translucides, et. en masses compléteillent Opaques et terreuses. La densité de /a première espèce varie entre 1,97 et 2,01. La variété translucide devient à la longue opaque au contact de l'air, ce qui fait supposer que la variété opaque n'est autre chose qu'un produit d'altération de la variété translucide. L'analyse a donné :
,
Silice
Alumine. Eau Magnésie.
Oxide de manganèse. Perte
.
.
0,4025 0,3500 0,2425 0,0025 traces 0,0025 1,0000
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M. Berthier a trouvé dans rhalloysite de Liége : .
.
. 0,393
.
0,340 0,265 0,998
33. Sur la densité des ARGILES CUITES à diverses températures; par M. A. Laurent. (Ann. de Chim. , t. 66, p. 96.) Un morceau de kaolin moulé, après en avoir séparé le sable par la lévigation, ayant été successivement chauffé à diverses températures, en prenant chaque jour la densité d'une portion de ce
morceau réduit en poudre , j'ai obtenu les résultats suivants A 100.: A 150 A 300
densité
Au rouge sombre Au rouge vif
A une température un peu inférieure à celle des essais de fer. A la température des essais de fer.
2,47 2,53
2,60 2,70 2,64 2,50 2,48
Au rouge le morceau a perdu o,io34 de son poids, et sa longueur a diminué de 0,0 3. Jusqu'à cette température, le volume et le poids ont diminué continuellement depuis le commencement jusqu'à
la fin , et au contraire, /a densité a augmenté. En chauffant plus fortemen t, il n'a pl us rien perd u
de son poids, mais sa longueur a diminué de 0,09 et sa densité à diminué en même temps.
Cet effet doit être attribué à une dilatation des particules dont se compose la masse, et qui s'étendent, quoique cette masse diminue, en expul-
sant l'air qui est interposé entre elles. Quant Tome X/H, 1838.
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