Annales des Mines (1911, série 10, volume 19) [Image 146]

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ÉTUDE SUR LES MINERAIS DE FER SCANDINAVES

d'électro-aimants du premier cylindre cessait un peu audessous de son diamètre horizontal, et les parties minéralisées seraient alors tombées si elles ne s'étaient trouvées

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tation; de plus, il diffère sur certains points de détail, comme nous allons le signaler. Le cylindre de cuivre tournant contient à son intérieur quatre pôles à polarités alternantes venant s'appliquer

a . Séide de pôles d'aimantation.

FIG

, 30. — Schéma de l'appareil Monarch.

en face de pôles du second cylindre qui les attiraient, en même temps que le non-magnétique enchevêtré avec les premiers grains attirés pouvait s'en séparer et tomber dans un second collecteur. Le second cylindre tournait avec les particules attachées et, au moment où cessaient les pôles d'aimantation, était lavé par un courant d'eau qui nettoyait sa surface et entraînait le slig. A SvartOn, le séparateur Monarch avait ses deux cylindres de 500 millimètres de diamètre et 600 de longueur : l'aimantation de chacun d'eux était faite sous 100 volts avec 7 ampères. Le premier cylindre tournait à 30 tours, le second à 90Le Grôndahl n° V {fig. 31 et 32) est fondé sur le même principe, mais il ne comporte qu'un seul cylindre d'aiman-

FIG .

31. — Séparateur Grôndahl n" V.

presque exactement contre sa surface. Les matières brutes n arrivent plus par la partie supérieure, mais dans un bassin à compartiments au-dessus duquel et au contact duquel tourne le cylindre. Le minerai à traiter arrive par Ur| e canalisation dans une première caisse de ce bassin,