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| + | |refondues, auxquelles la dénomination de fontes moulées en ''deuxième fusion'' ne s'applique pas en toute rigueur, bien qu'elle soit usuelle. En 1894, le chiffre correspondant avait été de 160,000 tonnes. | ||
| + | | - En laissant de côté les fontes d'affinage, qui servent, comme on le sait, à la fabrication des fers et des aciers, on trouve qu'en définitive notre consommation en ''produits ouvrés'' a été la suivante (y compris les produits de la fonte de vieilles matières) : | ||
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| + | |La diminution totale, par rapport à l'année 1894, est de 65,000 tonnes d'après les chiffres ci-dessus. | ||
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| + | |''Diagrammes de la consommation des fontes moulées, des fers et des aciers en France, depuis 1876''. - Des deux diagrammes ci-après, le premier figure la consommation des fontes moulées de toute sorte ; le second représente la consommation des aciers et des fers. Il est utile de répéter que les quantités ont été obtenues en négligeant les variations du stock. Ce diagrammes accusent nettement la crise économique qui a pris naissance en 1884 et qui a présenté en 1886-1887 son maximum d'intensité. | ||
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| + | |C'est seulement à partir de 1889 que les renseignements statistiques ont permis d'établir le diagramme complet de la consommation totale des fontes moulées. Un | ||
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| + | | [85] | ||
| + | |élément de cette consommation, les fontes moulées tirées de vieilles matières, faisait défaut. Cet appoint a son importance. On l'a représenté à part pour les sept dernières années, au-dessus des fontes moulées obtenues par le traitement des minerais ou la fusion des fontes brutes, qui composent seules les diagrammes des années antérieures. | ||
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| + | |'''CONSOMMATION DES FERS ET ACIERS REUNIS''' | ||
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| + | |(Les nombres inscrits représentent des milliers de tonnes). | ||
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| (84) |refondues, auxquelles la dénomination de fontes moulées en deuxième fusion ne s'applique pas en toute rigueur, bien qu'elle soit usuelle. En 1894, le chiffre correspondant avait été de 160,000 tonnes. | - En laissant de côté les fontes d'affinage, qui servent, comme on le sait, à la fabrication des fers et des aciers, on trouve qu'en définitive notre consommation en produits ouvrés a été la suivante (y compris les produits de la fonte de vieilles matières) : | [tableau] |La diminution totale, par rapport à l'année 1894, est de 65,000 tonnes d'après les chiffres ci-dessus. | |Diagrammes de la consommation des fontes moulées, des fers et des aciers en France, depuis 1876. - Des deux diagrammes ci-après, le premier figure la consommation des fontes moulées de toute sorte ; le second représente la consommation des aciers et des fers. Il est utile de répéter que les quantités ont été obtenues en négligeant les variations du stock. Ce diagrammes accusent nettement la crise économique qui a pris naissance en 1884 et qui a présenté en 1886-1887 son maximum d'intensité. | | [tableau] | |C'est seulement à partir de 1889 que les renseignements statistiques ont permis d'établir le diagramme complet de la consommation totale des fontes moulées. Un | | [85] |élément de cette consommation, les fontes moulées tirées de vieilles matières, faisait défaut. Cet appoint a son importance. On l'a représenté à part pour les sept dernières années, au-dessus des fontes moulées obtenues par le traitement des minerais ou la fusion des fontes brutes, qui composent seules les diagrammes des années antérieures. | |CONSOMMATION DES FERS ET ACIERS REUNIS | [tableau] | |CONSOMMATION DES FERS ET ACIEERS |(Echelle de 1 millimètre pour 10,000 tonnes) |(Les nombres inscrits représentent des milliers de tonnes). | |ECOLES DES MINES de Paris |Bibliothèque
