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Ce qui passé par les mailles des cribles à main et qui s'est deposé dans les cuves est lavé de nouveau aux lavoirs de gradations, où il se divise suivant son degré de finesse, en observant de mettre celui de lapremiere eau dans la seconde laverie, celui de la seconde cuve dans la troisième ainsi de suite ; on conçoit aussi que les mailles des cribles à main doivent être plus serrées que celles des lavoirs qui leurs fournissent les matiers, sans quoi tout passerait au travers. | Ce qui passé par les mailles des cribles à main et qui s'est deposé dans les cuves est lavé de nouveau aux lavoirs de gradations, où il se divise suivant son degré de finesse, en observant de mettre celui de lapremiere eau dans la seconde laverie, celui de la seconde cuve dans la troisième ainsi de suite ; on conçoit aussi que les mailles des cribles à main doivent être plus serrées que celles des lavoirs qui leurs fournissent les matiers, sans quoi tout passerait au travers. | ||
Les lavoirs par gradation n'ont pour objets, ainsi qu'on a dû le remarquer <del>supprimé</del> que de trier les minerais après leurs avoir enlevé la terreuse qui les masquait et de les diviser suivant leurs degrés de grosseur et de richesse. | Les lavoirs par gradation n'ont pour objets, ainsi qu'on a dû le remarquer <del>supprimé</del> que de trier les minerais après leurs avoir enlevé la terreuse qui les masquait et de les diviser suivant leurs degrés de grosseur et de richesse. | ||
| − | A la suite des laveries de gradation est un labyrinte composé de plusieurs caisses longues, qui reçoivent l'eau qui a servi à la lotion dans les quelles se deposent les petites particules de minerai faisant leur degré de grosseur et poids | + | A la suite des laveries de gradation est un labyrinte composé de plusieurs caisses longues, qui reçoivent l'eau qui a servi à la lotion dans les quelles se deposent les petites particules de minerai faisant leur degré de grosseur et poids spécifique, en sorte que les pus grosses se precipitent dans les premieres caisses, et les plus fines, ainsi que la partie terreuse, dans les derniers et dans de grands [bassins?] qui sont à la suite. Ces depôts sons sortir de temps en temps et lavés auxc tables de la maniere |
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lavoirs est aussi passé aux cribles par les trois autres cribleurs : mais comme ce minéral est assés fin les cribleurs finissent de le purifier : je traitterai plus amplement de la cribration dans la section suivante.
Ce qui passé par les mailles des cribles à main et qui s'est deposé dans les cuves est lavé de nouveau aux lavoirs de gradations, où il se divise suivant son degré de finesse, en observant de mettre celui de lapremiere eau dans la seconde laverie, celui de la seconde cuve dans la troisième ainsi de suite ; on conçoit aussi que les mailles des cribles à main doivent être plus serrées que celles des lavoirs qui leurs fournissent les matiers, sans quoi tout passerait au travers.
Les lavoirs par gradation n'ont pour objets, ainsi qu'on a dû le remarquer supprimé que de trier les minerais après leurs avoir enlevé la terreuse qui les masquait et de les diviser suivant leurs degrés de grosseur et de richesse.
A la suite des laveries de gradation est un labyrinte composé de plusieurs caisses longues, qui reçoivent l'eau qui a servi à la lotion dans les quelles se deposent les petites particules de minerai faisant leur degré de grosseur et poids spécifique, en sorte que les pus grosses se precipitent dans les premieres caisses, et les plus fines, ainsi que la partie terreuse, dans les derniers et dans de grands [bassins?] qui sont à la suite. Ces depôts sons sortir de temps en temps et lavés auxc tables de la maniere
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