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97 ( 1111131311155 D'INDUSTRIE ,_ crlaunlñnzs nacmxns. ‘ Z __ ’ Puissance soutenu. w...— l l Agriculture . . . . . . . . . Industries chimiques . . cl. .. . l I cher; u. .——:—-—n——.— 131.813 18.119 Services publics . . de. l’Etat.. Toraux . . . . {mm Puissance blls' - “menti Nom Lre. motrices. cn aigri: fins ’ chevaux. de “pour. :— 69 3.696 472 57,439 51,335 1,117 111 14 2 I .1 ,. . _ 3,512! 430 3,763 1.290 “51,458 65.595 . . . . à .599 ILOÎS 354 lb il. ,06] 1,5518 2116 35, 1.153,20572.122 7.353 1.061 1 .. 117 17 48|. 211 . ‘ 61 48 “-— H__—--»-r-—_.— puissance matrice par ensemble du «— usines. classent les se départements suivants dans 1,000: Bhône, Pas-de—Calais, 2o Loire, Seine—Inférieure, Bouches—du-Bhône, Seine-et—Oise, Aisne, Saône—et—Loire, Somme, Oise, Seine—et—Marne, Gironde, Loire—Inférieure, Meurthe-et—Mosclle, Isère, Gard, Allier, Vosges, Ardennes, Marne. A leur suite, les serrant de viennent près, l’Hérault, le Cher et l’Eure. Au point de vue de la puissance motrice, c’est encore le Nord qui tient la tête de nos avec ses 162,500 départements; chevaux—vapeur, près du septième du total, il laisse loin derrière lui la Seine, qui n’en ces 11,532 Llñâ de la et le nombre des chaudières varie de 3,000 à lesquels . _ à vapeur 7,346 chaudières réparties entre {1,919 Après eux, par ordre d’importance, r 0b- jets 'mobilicrs et d'habita— tirm, instruments. .I . l 13.329l lan- imprimeries, . i 106,575 ' Pa peleries. motrices. cale ri- fini appareils Les département. du Nord et de la Seine départements des disposent cinquième appareils existant en France. A la fin de 1895, le département du Nord possédait 8,313 chau- dières en activité disséminées dans 3,953 établissements; la Seine le suivait avec CHAEDIEMS Macnmzs. 3403m“; _. en Distribution des ALGÉRIE. raison. l “’5‘ ’ La fabrication des tissus vêtements) Première ligne; (et elle emploie plus du cinquième (22 p. 100) de la puissance totale des machines en activité. A la suite se avec 18.5 100 de l’en; les usines placent métallurgiques p. semble des chevaux-vapeur, et les mines et carrières avec 15 p. 100. L’industrie du bâtiment arrive au quatrième rang avec près de 1 2 p. 100, tandis que les industries alimentaires ne sont plus qu’au cinquième, avec 11 p. 100. L’agriculture tient le sixième rang seulement dans l’échelle des puissances. C’est à cette dernière industrie cependant qu’appartient le Premier rang si l’en considère le nombre des chaudières; elle n’occupe pas moins, en effet, de 2 3 1 00 du p. vient accessoirement des en total. Les industries alimentaires comprenant les sucreries, les minoteries, les distil- leries, etc. l’industrie des tissus et vêtements, enfin les usines métallurgiques forment , les trois groupes dans de chaudières. L’emploi lesquels de la vapeur a on compte. après l’agriculture, continué a (lustrie. se dévelOpper le plus grand nombre dans toutes les branches d’in- En et Voitures à vapeur. Le nombre des voitures à vapeur a passé de 52 à 63 dans le courant de l’année, et leur puissance, de 185 à 227 chevaux, ce une (114,000), de 3.6 automobile. chevaux moyenne par Les voitures à vapeur, comme on le voit, convient de le Rhône signaler à côté d’elles les autres voitures nombre minime. Mais il le pétrole par de sorte que le mécaniques ou l’électricité. La déclaration celles—ci n’est pas obligatoire, pour chiil’re n’en est pas exactement connu. La eu a relevé 158 statistique mais ce chiil’re ne représente certainement qu’une partiedu nombre total. mues en 1895; deux départements, Meurthe-et—Moselle et les Vosges (45,000), Saône-et—Loire Bouchesudu-Rhône (28,000), l’Oise et la (20,000) les II. CHEMINS DE FER. -—- Les rense1gncments statistiques compris sous cette rubrique s’appliquent non seu- 1 aux v01es ferrees dinterêt ou local, mais encore a tous les général embranche— emeut. ments industriels et dlvers et aux l1gnes de à tramways vapeur. Les appareils qui les desservent se divisent en deux classes : 1° les machines locomotives; 2° les appareils fixes locomobiles. ou v1te sont eXplOItées actuaire. en indiques Le nombre et la — dans le tableau suivant, en : 1" N A '1' L: n E puissance des locomotives en acti— (les regard longueurs kilométriques nase E. .1 n 1.: s C H la M I x 5‘ --"'—"———--._.——--._ Puissance v ("Illüllfll'lûnv l——- ’ Chemins d’intérêt général d’intérêtlocal industriels . T mmWays à vapeur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . , . . Tune): g sont :65 l-llomèlres d Behemmsdmt . . . . . . . , . . . . . . . . . . . . . . . . . . . , . . . . . . . . .. . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . I’ i ' ou ‘— chevaux. ———-—'-1 35‘289 9,899 51.019.577 '—‘ 3,860 31251 50,050 30.396 8516 ' Lotzosont‘zs. kilométriques M“- cxpiuilalion. ' Puissant: en chevaux. ’ M’mI-"E' , l —————— 2.905 3&5”)? : : 11,223 ' n .. “mm-EUH, ou * ‘ . h. Inconnu-n'as. ‘LomL-znum cn l LGÉRIE. "W kilométriques l sont encore en (29,000), (20,000). Loire-Int’érieure — qui représente (ç1,000 que 99,000. Après la Loire chevaux-vapeur), (62,000 chacun), la Seine-Inférieure (50,000), Locomotives les industries alimentaires sont les deux branches Algérie, l’agriculture le nombre de chaudières et qui disposent de la qui emploient plus grand plus grande l’industrie du bâtiment vient en troisième motrice; puissance ligne. —- viennent le Pas-de-Calais possède f1,l3î’l.829 2.905 . ‘ “floués 4' . Mines. P“ — au comPaguics Statistique. ' ‘ t! d'ieïérépcpûiuïnt i' “plantes par ils compagnies d Inll‘l‘tl ‘ ' " " " gencral, - par COfilrc. \ 2,5 ‘- " Lllcmelrns {la chemins dmlcret ’ ' " " ’ u "' gent-rai.