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FORMULES NOT.JVELLES.

EAUX COURANTES

34o

diverses hypothèses sur t, sur r, sur

i,

le profil

gH

longitudinal de ces eaux pour H

c'est-à-dire pour une prolo' ndeur de régime uniforme d'un décimètre et pour une pente de fond égale à l'unité. Leur asymptote supérieure com-

34i

pour les canaux rectangulaires et tombent, audessous , comme l'on voit, pour les canaux à talus de i et de 2 sur t. Les sept courbes ponctuées que l'on voit un peu au-dessous de chaque courbe pleine sont re-

= 0,10.

latives

Les abscisses horizontales de ces quatorze cour-

mune est ainsi une ligne inclinée à f sur i ou à 45 degrés, tracée à om, Io au-dessus du fond, et représentant le profil longitudinal de la surface

bes sont les valeurs de

d'eau primitive. Chacune de ces courbes est, par cela seul ( et sans qu'il soit aucunement nécessaire de supposer que les formules restent applicables jusqu'à

de la ligne d'eau primitive inclinée à 45 degrés, y is au-dessus de la ligne horiou les

i=i ) le profil en longueur de l'eau pour une profondeur primitive quelconque H et une pente de fond i aussi quelconque en regardant les ordonnées d'eau verticales comme rapportées à une échelle de om, o pour chaque hauteur égale à H , et les distances horizontales à une échelle en de e i o pour chaque distance égale à i-

sorte que si, par exemple, on a H...= i mètre, chaque courbe à , la fig. 7 représente 000 une échelle de hauteurs de s sur H> et à une échelle de longueurs horizontales de i sur t0000. all' =0, Les sept courbes pleines sont relatives à

Celle dont le trait est le plus gros est relative à

r= o.

Celles relatives à r= 1/6 et 1/3 sont au-dessus

H

tirées des tables. Leurs

ordonnées verticales sont lesP ortés au-dessus

zontaletirée du point pour lequel .1):i= 3. Les lignes à 45 degrés tracées de centimètre en centimètre facilitent beaucoup la détermination des points.

43. Exemples de ces solutions approchées. Si un problème quelconque est proposé sur la suite des hauteurs du relèvement d'un cours d'eau,

il se trouvera résolu en déterminant simplement quelle est la courbe représentant l'eau relevée, et à quel endroit de cette courbe se trouve le barrage ou l'autre point particulier pour lequel le relèvement d'eau est donné. Par exemple, s'il est question d'un canal rectande largeur et de o,00048 de pente gulaire de

de fond i, où la profondeur d'eau primitive t",10 se trouve portée à H

3 mètres