.MTA0.MjYzODE
EAUX COURANTES 19é reconnue un peu plus forte, pour même vitesse moyenne, dans le mouvement varié que dans le mouvement unifbrtnei., En sorte que, sans recourir à ces équations empiriques de la courbe de remous, qui ont été essayées à plusieurs reprises et qui peuvent conduire à d'énormes mécomptes et à des absurdités, le problème pratique du remous pourra, lorsque le cours d'eau ne sera pas très-irrégulier, être résolu en peu d'instants par des tables applicables à tous les cas-, aussi exactes que peut le permettre l'état actuel des connaissances expérimentales que fou pdSS'ède en hydraulique, et même indépendantes
d'Une grande partie *d'es- erreurs qui'ont pu affecter les expériences de Du Buat et 'des lliydruliciens allemands-jet italiens (art. et 13) sur lesquelles
se, base-la formule - I
cU, car,,,4tiime'in
-Z
verra, c n'entre point,dans les calculs, et l'expo-
sant in n'y .influe pas assez pour 'qu'un écart absolu
de 1/3o ou 1/4o sur sa valeur altère les, d'une manière bien sensible;
résultats
FORMULES NOU VELLES.
ds l'épaisseur de cette tranche infiniment mince, ou la portion de la longueur s ,du courant qui est occupée par elle, dz sa pente absolue de superficie, (u) la hauteur du prisme fluide dont le poids représente la résistance ou le frottement mbven des parois sur une surfa-ce -égale à sa base, et par conséquent H(u) ce frottement, par wève carré de leur surface- xds ti contaeirnavee la tranche, le coefficient, peu différent de l'unité , par le-
or,
quel il faut multiplier la force vive due à la Vitesse moyenne d'une tranche poux, alyOr 'force vive effective de cette tranche, eti.eard à
tes des différents finég-alité des vitesses v Comme l'action de la pesanteurpougrenfoncer une molécule d'eau, 4, une.profondeur pi,u grande au-dessous de la surface est toujoursfflempensée , d'après le principe d'Archimède , parmla pression des molécules environnantes, le travail moteur de la pesante-6P sur la tranehe en mouviiMent n'est dû qu'à lddeseente dz de la. surface, et l'égalité entre la dpmi-force vive acquise par la
34termule générale du relèvement ou remous.
incou , masse _écoulée pendant l'unité de temps, en
,É. tablissons d'abord, en peu de mots, l'équation
parcOurant Tespace u, et le travaiilâ'but-i'lko'teur r;a t\ que résistant qui s'exerce sur elle. Mou, çs _W.) -_if, fy.,, (-) 4yi.
du mouvement permanent non eaux courantes.
unif9Eme; dés
intu
Sil,".on nomme :
H le poids du mètre cube d'eau, d)! la vitesSe moyenne de ee'fluide écoulé à travers -«une tranche dont la section est 60 et le-. péri-
mètre mouillé z; ensorteque mei, est le poids écoulé par cette tranche en line seconde,
d()
.
,IVT = %m. dzx
,
Ou, en divisaipay le
.
débit 1-16,,gc qui
?u.
ne varie pas
quand on paslfi-,-d!,nne tranche à l'autre : (42)
uckt '
7
p(u)ds.
.
