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On voit,’d’après l 6 l les progrès que, depuis 1’876, ont été et ils sont sensiblement le continus dans Pas-de-Calais; rapides presque moindres dans le NOrd, dans le groupe de la Bourgogne et du Nivernais, dans celui l'allure des courbes des diagrammes, du Tarn et de Loire dans dans L’extraction est stationnaire la celui du Gard. l’Aveyron, dans le Bourbonnais. et Détails la renseignements production principales exploitations. détails sur les seront utilement généraux qui précèdent complétés par quelques prin— cipales exploitations. Dans le Nord, la Compagnie d’Anzin a Produit 2,817,000 tonnes, 9,000 tonnes de moins que l’année précédente. La Compagnie d’Aniche a fourni, au contraire, 4,000 tonnes de plus, en portant son extraction à 846,000 tonnes. Les Compagnies de l’Escarpelle et de Douchy ont produit respectivement 57 1 ,000 et 348,000 tonnes, soit 32,000 et 6,000 de plus qu’en 1894, etc. Dans le Pas-de-Calais, la Société des mines de Leus a obtenu une de production 2,365,000 tonnes, supérieure de 78,000 tonnes à celle de l’année précédente. L’extraction de Courrières a été de 1,553,000 tonnes et celle de la Compagnie de et Nœux de 1,222,000 tonnes, en augmentation respective de 56,000 et Vicoigne 35,000 tonnes. La Compagnie de Béthune a extrait de sa concession de Bully-Grenay 1,013,000 tonnes, soit 56,000 de moins qu’en 1894; la concessiou de Bruay, 1 ,1 51 ,ooo tonnes, 1 3 1,000 de plus; celle de Liévin, 808,000 tonnes, 2 2,000 de plus; celle de Marles, 798,000 tonnes, 1 1,000 de plus; celle de Dourges, 659,000 tonnes, 83,000 de plus; celle de Drocourt, 525,000 tonnes, en augmentation de. 155,000 concernant des — Les 1 tonnes, etc. Loire, il a été extrait 724,000 tonnes de la concession de Roche—la—Molière et Firminy, et 582,000 tonnes des Concessions de Montrambert et la Béraudière, soit tonnes de et 2,000 tonnes de moins que l’année précée 537,000 respectivement plus dente. L’extraction est restée stationnaire, à 594,000 tonnes, dans les concessions de la Société des mines de la Loire. Elle s’est accrue de 31,000 tounes dans celles rle la Société des houillères de Saint-Étienne, qui ont produit 533,000 tonnes. Dans le Gant, la Compagnie de la G’rand’Combe a extrait des six coucessions dans le bassin d’Alais 813,000 tonnes, soit 58,000 de moins que qu’elle possède Dans la l’année précédente. gnie de Bessèges, La concession de Bobiac et de même diminué Meyrann‘es, appartenant à la Compa— extraction de 6,000 tonnes en la restrei— à La Société de Bochebelle et Cendras a fourni, comme en 400,000. gnant 18941 244,000 son tonnes. Dans le élevée à a département de Saône—et—Loire, l’extraction des mines de Blanzy s’est 1,430,000 tonnes, en augmentatiou de 19,000. Les concessions du Creusot ( de et 7 l Montchanin—Longpendu, exploitées la Société Schneider et C3“, ont par produit 190,000 tonnes, soit 3,000 de moins que l’année précédente. La même société pos— sède dans la Nièore la mine de Decize, d’où elle a extrait 183,000 tonnes, 5,000 de moins qu’en 1894- Dans de l’Allier, la Société de Commentry cédente, et de COmmentry—Fourchambault Montvicq 573,000 tonnes, 9,000 la Société de et pré— des quatre concessions de F erriéres, Châtillon—Commentry, Doyet, l’Ouche—Bézenet et Bézenet, 253,000 tiré des deux concessions de moins que l’année a de plus. Dans l’Aveyron, la Société de Commentry—Fourchambault aproduit 354,000 tonnes, celle des Aciéries de France, 285,000 tonnes, et la Compagnie de Campagnac 264,000; soit, respectivement, 6,000, 4,000 et 7,000 tonnes de moins qu’en 1894. tonnes , 2,000 , Dans le tion, qui Détails 1 1 Tara, la Société des mines de Carmaux a été de 470,000 concernant de moins lignite. a réduit de 7,000 tonnes son extrac- tonnes. les conditions qu’en 1894; 249 d’exploitation. Il y a eu 30 1 concessions exploitées, ont fourni de la houille ou de l’anthracite, 52 du — Parmi les concessions de houille et débouchant d’anthracite, 71 sont exploitées par galeries concessions de lignite. Dans les autres mines, 0n jour; compte 371 puits d’extraction en service et 4o en fonçage. L’ensemble des exploi- tations comprend, en outre, 274 puits affectés à d’autres usages. Les machines à vapeur fonctionnant sur les charbonnages ont été au nombre de 2,343, d’une puissance de 144,000 chevaux—vapeur. Parmi elles, 252, d’une force de 11,500 chevaux, ont été spécialement atl’ectées à l’aérage des mines. Il y a peu de changements à noter quant à la profondeur maxima des puits. Les plus profonds se rencontrent dans le Gard, aux mines des Salles—dewGagnières, où il existe un puits de 810 mètres; dans la Loire, aux mines de Plat-de—Gier, de Ville- bœuf, du Treuil et de Comberigol, où les profondeurs atteignent 777, 650, 630 et 606 mètres; dans Saône-et—Loire, aux mines de Montchanin, d’Épinac et de Blanzy, ou il s’en trouve de Douchy, 710, de 603 et 555 (716, (le même 23 au l’Escarpelle, 648 et 533 mètres; dans le Nord, aux mines d’Anzin, de de Denain, d’Aniche et d’Azincourt (700, 691, 636, 61 1, dans le Pas—de-Calais, à Drocourt, à mètres] et à Liévin Bully—Grenay 583 et 566 dans la mètres); Haute—Saône, aux mines d’Ëboulet et de Ron— champ (694 Le niveau :, et 591 mètres). moyen des chantiers est loin, d’ailleurs, de se trouver à une aussi grande profondeur. Ainsi, à Anzin, la profondeur moyenne des étages est de exploités 385 mètres; elle n’est de 310 mètres aux Salles et de 140 à Montchanin. Les que chantiers où la profondeur est le moyenne plus considérable se rencontrent aux mines