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Bandelettes de ferrail on continue tant qu'une lame de fer introduite à la main se recouvre d'une pellicule appréciable-- La ferraille est ensuite secouée sur une grille dans un bain d'eau chaude. Le cuivre se détache. On le (illisible) et on le vend comme cuivre de ciment. Il contient 70 % de cuivre et généralement il est arsénieux . On le vend 1500 francs la tonne. La consommation totale de combustible est de 304 kilos par tonne de minerai traité . Les pertes doivent être très faibles ; on prétend qu'elles sont comprises entre 0,1 et 0,2 %--On traite par mois 1600 tonnes de minerai donnant 30 à 35 tonnes de cuivre de ciment . Les fumées sont condensées dans des chambres rafraîchies par des jets d'eau. On obtient ainsi une liqueur chlorhydrique qui sert dans le premier lavage. On trouve aussi dans les chambres un peu de poussière cuivreuse : on la traite par HCL et on les ajoute aux eaux de précipitation – Les résidus ferreux sont vendus à bas prix pour garnir la sole des fours à puddler. Après cet exposé rapide de l'ensemble des opérations je vais revenir sur quelques points de détail et préciser les principales réactions.Les pytites employées ont des compositions peu différentes la moitié environ vient de Saint Domingue voici l'analyse d'un échantillon de cette mine Soufre --- 49,00 Arsenic 0, 44 Fer 43,35 Cuivre 3,20 Zinc 0,45 Plomb 0,93
Chaux 0,10 eau 0,70 Résidus gazeux 0,63 Illisible-perte 1,07 (Trace de plusieurs métaux) _________________ 100 Ces pyrites sont grillées pour la fabrication de l'acide sulfurique . Quand elles arrivent à Widnes. Elles contiennent :