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|134 |où il est necessaire dans les mines et qu'il suit ordinairement le chemin le plus court d'une ouverture à l'autre, il arrive qu'il n'éprouve aucun changement dans les ouvrages voisins où il devient mauvais, dans ce cas il faut forcer l'air atmosphérique de passer par les endroits où il est utile ce qui s'opère par le moyen de porter, ainsi lorsqu'on veut empêcher l'air de passer dans une galerie et le forcer d'entrer dans une autre, on bouche éxactement la première avec une porte qu'on glaise tout autour, alors l'air passera par la seconde, ces moyens sont d'un usage frequent dans les mines, un habile maître mineurs fait les employer à propos suivant les circonstance. Ou est souvent obligé de boucher un puits avec une trappe, ou plancher pour empêcher l'air d'y passer et le faire retrogader dans des parties où il en manque. |On fait aussi usage dans les mines de ventilateurs qu'un ouvrier fait tourner par une manivelle, l'objet de cette ventilation est de mettre l'air stagnant en mouvement. |Délius à la fin du tome premier parle d'une machine à vent en usage en Hongrie, il l'apelle roüe à vent ou lambour à vent. Il y a fort longtemps que cette machine est comme, c'est pourquoi je me bornerai à en faire une description abrégée ; elle consiste en une cage ronde et applatie, des | |ECOLE DES MINES de Paris |Bibliothèque