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| 165 | Les chevaux sont moins chargés qu'auparavant, mais ce n'est point un inconvenient il n'y en aurait que dans le cas où l'on serait obligé de faire usage du frein. | On a vû precedemment qu'au moyen des cônes tronqués, ou gâgne au moins un tiers de vitesse dans l'ascenstion des tonnes, quand on sait proportionnes les different diametres de ces cônes au pids du cable, on n'a supposé que 650 livres de pesanteur à celui qui a servi d'exemple, mais quand les puits sont très profonds, leur poids éxcule souvent celui des matérière contenües dans le sceau, alors l'éxecution des cônes est embarassante à cause de la grande difference qui se trouve dans leurs diametre ce qui rend les côtes de leur surface trop inclinés, à moins qu'on [illisible] beaucoup de hauteur ce qui les rendrait très pesant et plus coûteux. | Afin de faire mieux juges de l'avantage des cônes sur le tambour des machines ordianires, il faut la comparer les effet ; il est certain que si les rayons du tambour d'un Baritel ordinaire étaient de cinq pieds sept pouces deux lignes 2/5 comme les rayons moyeux des roues, il ne faudrait, (ainsi qu'on la deja fait observer) que le même nombre de revolutions pour faire monter les tonnes avec l'une comme avec l'autre méthode, mais voyons si deux chevaux feraient suffisant pour vaincre la resistance avec le tambour pour cet éffet il faut encore suposer que le poids des matières à éleve est de mille livres et que