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| 180 | leurs chûte, le derangement et même la rupture de quelques pièces de la chapente du puits lorsque le cable venait à manquer ; troisièmement celui d'arrêter le mouvement de la machine tandis qu'on remplissait et qu'on [vidait ?] leur tonnes. | Pour remedier aux désavantages des tonnes, les hongrois leurs ont substitué des sacs formés de deux peaux de bœuf, il en faut 4 pour une machine à moteller, deux sont toujours en chemins, tandis qu'on en vide un au haut du puits et qu'on remplit l'autre dans le fond pour ménager ces sacs en les chargeant, les ouvriers ont ordre de commencer à mettre au fond le minerai le plus fin par lequel ils jettent celui qui est en gros morceau ou conçoit qu'on ne pourrait pas faire usage de sacs dans les puits inclinés parce que le frottement les aurait bientôt usés. | Afin d'avoir l'aisance de charger ces sacs aussi facilement que les tonnes on les tire à côté du puits où sont suspendües deux [illisible] chaines; au bout de chacune d'elles est au crocher ; ces deux crochets se passent dans deux anneaux qui sont solidement fixés au bord du sac qui de cette manière est tenu manière sert [illisible] ouvert et suspendu, on le remplit pendant que l'autre sac monte. | En haut du puits est une corde passée [illisible] et ensuite par un treuil qui est mis en mouvement par une petite roüe qu'un homme fait tourner. Au bout de cette corde est un crocher de fer ; aussitôt que le sac plein | | Ecole des Mines de Paris | Bibliothèque.