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De Transcription | Bibliothèque patrimoniale numérique Mines ParisTech
Version du 10 octobre 2023 à 14:29 par GRISONI (discuter | contributions)

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| 180 | ces éspace sont grandes plus le frottement et le choc contre les parois du puits sont considerables, plus enfin le cable est chargé par raport à son poids propre, c'est donc dans ce temps que la rupture peut arriver. on en faisant monter la tonne doucement dans le commencement, on évite une partie de ses vibration et du frottement, et par consequent l'usure du cable et même sa rupture qui est souvent occasionnée par un choc contre le cavelage du puits à mesure que la tonne monte et qu'elle a moins de longeur de cable, sa vitesse s'accelere et le mouvement de celle qui descend diminue dans la même proportion. | M Trébra, page 214 de l'édition française de son ouvrage sur les mines, raporte que deux chevaux appliqués à un Baritel le plus parfait qui ait été à construir en Saxe, faisaient monter 34 tonnes de minerai de huit quintaux chacun de la profondeur de 75 toises en huit heures de travail, cette éxtraction n'était donc que de 272 quintaux. J'ai fait voire qu'avec les coûes tronqués deux chevaux pouvaient extraire par heure huit tonnes de matière de mille livres chacune qui font 80 quintaux ; d'où il s'en suivait, que ces deux chevaux pourraient en huit heures de travail éxtraire [640?] quintaux au lieu des 272. | M Trébra ne donne point les dimension des Baritols dont il raporte les éffets, ce qui met dans l'impossibilité d'en faire le calcul. | On a deja vû à la fin de la section precedente que M Trébra en comparant les effets des [illisible] à bras d'honneur avec ceux du Baritel à chevaux | | Ecole des Mines de Paris | Bibliothèque