.ODk3.MTQwMDE5

De Transcription | Bibliothèque patrimoniale numérique Mines ParisTech
Version du 22 juin 2024 à 16:19 par GRISONI (discuter | contributions)

(diff) ← Version précédente | Voir la version courante (diff) | Version suivante → (diff)
Aller à : navigation, rechercher

289 aux deux [illisible] et à la partie posterieure de la chaudiere, puis elle est attirée, ainsi que la fumée, par une cheminée assez élever moyennant cette disposition la chaleur ne se perd point et elle se trouve toute employée à produire l'effet qu'on en attend qui est d'autant plus considérable que l'eau contenüe dans la chaudière presente en surface à la partie supérieure, puisque son évaporation et la quantité d'evapeur qu'elle produit, sont en raison de cette étendüe, c'est pour cela qu'il est bon de donner plus de largeur aux chaudieres à l'endroit on atteint le niveau de l'eau, que dans ses autres parties ; et comme il faut un volume de vapeur élastique assez considerable pour en remplir le cilindre à chaque opération, il est nécessaire que la chaudiere soit de grandeur convenable à pouvoir en contenir en quantité suffisante, sans quoi les mouvements de la machine se ralentissent. Les hongrois, ainsi que le raporte Delius donnent à la chaudiere une capacité qui est à celle du cilindre, comme [illisible] est à un ; mais comme elle n'est remplie d'eau qu'au tiers, l'espace qui reste pour la vapeur est donc sept fois plus grande que le cilindre ; il reste par conséquent, a près une levée du piston, encore