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323 d'environ trois lignes en carré ce qui reste sur ce crible, qui est le plus gros et le plus dur, comme parties quartzeuses qui peuvent envore contenir quelques grains de minerai, est jetté en dessous des quatre autres pitons du même Bocard ; mais au lieu de donner leurs coups sur une grille de fer, comme, comme les huit premiers, ils ont pour sol une forte plaque de fer de fonte ainsi que cela se pratique aux Bocards à sec ordianires. Tout le minerai qui a été cassé soit seules griller soit sur le sol de fer est livré à des laveurs aux cribles, qui, en faisant le lavage dans des cuves de la maniere éxpliquée par la section precedente, separent le mineral par d'avec les parties pierreuse, celles ci comme contenant encore un peu de minerai métallique adherent au gros sable, sont ensuite traitées au bocard à eau. Le Bocard à sec dont je viens de faire le détail est d'une grande utilité, il tient lieu d'une infinité de bras qu'il faudrait pour casser la même quantité de matieres ; on ne peut trop conseiller son établissement dans les endroits où l'on a [illisible] d'eau pour le faire mouvoir ; la description que j'en ai donnée sera suffisante pour en faire comprendre le machanisme sans le secours de plancher, il suffit pour cela de connaitre les Bocards ordianires. Il en est qui concassent le minerai