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MACHINES A CHAN:GER LES ROUES DES LOCOMOTIVES.
,.cette vrs qui supporte toute la charge, ,ripie mobile et 'iredg Toues. Les deux rails L, L, ( dont chacun est fokmé de cieux bouts de rails américains appliqués base àbàse par, deux rangs de rivets) sont sus- et,assemblés de la vis au moyen des tirants P, P, R, pendus à l et rattachés. à son extrémité inférieure par les platesbandes Q, .0, et les tringles , y ; les Cieux entretoises T; ëliipêèhént là flexion dé cette armature, et par Suite tà. tendance dés rails à se rapprocher sous la charge et à s'appliquer Contre lés parois intérieures des guides. gtds ecreu th-Urie& , M, s'appuie par Une nervure circulaire sur le celle bien dressé de la douille J : il est denté sur son contour extérieur, et engrène avec les deux pignons verticaux N; N calés sur les arbres à manivelles 0, 0. Pendant la mise en place de la locomotive, les rails mobiles sont clavetés aux deux bouts comme dans l'appareil précédent. Tel est l'objet des appendices H,H(fig, 2 0) . Comme transmission de mouvement, le second appareil est plus simple que le premier, gni entraîne une assez grande complication d'engrenages. Mais celui-ci a pour lui une disposition plus simple des armatures, plus de solidité, et une stabilité complète, qui manque à l'autre. Avec un seul stipport central, il est indispensable d'amener exacteinent à l'aplomb de la vis, l'axe de l'essieu à abesser, conditioh qui disparaît avec les quatre peints d' appiti: If appareil allemand exige d'ailleurs abselumént là MiSe et' place des clavettes d'about, avant les deplacemeritS de la machine; tandis que l'oubli de cette précaution n'aurait pas d'ineetivénient grave dans l'appareil dtt Chemin de l'Onest. Par contre, il est vrai, la vis présenté par elle-même, contre tout mouvement involontaire, des garanties que l'encliquetage est loin d'offrir au même degré. La première disposition paraît, tout compte fait, pré,
MÉMOIRE
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férable à la secondé, qui a du reste le mérite de la priorité. C. COUCHE.
SUR LA CONSTITUTION G DES
ZIEECÂN EV .10E L'OUA.» AU POINT DE VUE DES EAUX ARTÉSIENNES
DE CETTE PORTION DU SAHARA,
Par M. DUBOCQ, ingénieur des mines, chef du service dans la province de Constantine.
La chaîne des monts louress , qui limite vers le sud la partie moyenne de.la province de Constantine, dessine par une série de crêtes élevées et ardues, dont
l'altitude atteint jusqu'à 2.512 mètres au-dessus du
niveau de la mer (Djebel Chelliah), la ligne de partage entre les eaux qui vont porter leur tribut aux bassins
fermés des lacs de la région des hauts plateaux qui constitue, entre Tebessa et Sétif, la zone méridionale du Tell, et les cours d'eau qui, descendant des versants sud, vont se réunir, après avoir traversé la plaine
des Ziban, dans le vaste marais de 1VIelr'ir. Cette chaîne, qui comprend dans sa partie centrale des grès à grains fins et des calcaires, est composée dans la région que traverse la route de Constantine à Biskra, d'assises alternantes de marnes, d'argiles et de calcaires. Les marnes et les argiles sont sèches de couleur grise ou ocreuse, et forment des assises peu
nombreuses intercalées dans les calcaires. Ces derniers présentent le plus souvent une structure compacte à cassure grasse ou conchoïde, avec un grain variable ; TOME II, 1852.
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Chaîne de PAouress.