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( 322 ) Monts-Dores quelques endroits où les scories sont si fraîches , qu'on ne peut guère les attribuer qu'à des. points d'éruption moderne ; tel est le puy de Vivanson, tel est encore le versant d'une partie du puy de l'Ai- guillier, dans le ravin au n o r d - e s t , avant d'arriver au puy Baladoux, en allant d'Espinasse a u M o n t - D o r e . § V I I . Des produits postérieurs niques. aux éruptions volcU" Les dépôts postérieurs aux éruptions volcaniques sont assez abondans et augmentent tous les jours. On peut les partager en trois groupes. 1. Les travertins ou dépôts d'eau minérale ; a. Les tourbes provenant de ,1a décomposition des, plantes dans les prés humides ; 3 . Les atterrissemens qui élèvent le sol des vallées , çn même temps que les masses dont *ils se détachent » diminuent. Les eaux minérales sont abondantes au Mont-Dore ; plusieurs d'entre elles, connues de toute antiquité, ont déterminé la position du village des Bains , et acquis au groupe de montagnes dont elles sortent la réputatloi^ qu^Il méritait. Ces eaux s'échappent des trachytes p r i s - mes de la montagne de l'Angle ; elles sont reçues dans les bassins d'un magnifique établissement, et leur e m - ploi dirigé avec talent par M. le docteur Bertrand, les a mises bientôt au premier rang parmi les eaux m i n é - rales de l'Europe. Ces eaux ont déposé autrefois des masses de silice assez considérables , et forment encore aujourd'hui quelques incrustations de même nature, mais moins abondantes»