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[Ce n'est pas tout ; la 1er couche (Storvärts Nyberg)n'a ni la même richesse ni la même puissance que la 2ème couche (Christian V, [illisible]) il est donc difficile d'admettre que ces deux couches sont la continuation de l'autre . Enfin s'ils y avait un rejet on devrait retrouver le gabbros un peu au dessus de la couche de Storvärts , ce qui n'a pas le???. Toutes ces raisons ont porté M. Pris à rejeter la théorie de M. Helland et à donner la coupe suivante :

[coupe]

On voit que d'après M Pris les gabbros n' interrompent en aucune façon les gîtes qu'ils n'ont pas de racine et sont disposés absolument comme des couches. M. Priis s'appuie pour le supposer 1°sur le pendage général des gîtes qui ne permet pas de croire qu'ils ont été relevés par le gabbros 2° sur l'analogie des couches de Storv¨rts et de Nyberg , d'une part de Christian V et de [illisible] de l'autre , 3° sur l'exemple de Muggrube ou l'on a poussé, comme on l'a vu les travaux dans tous les sens sans rencontrer nulle part la racine des gabbros. M Priis s'inquiète d'ailleurs nullement d'expliquer l'origine de ces gabbros. Ces raisons sont elle suffisantes? M Kjerulf ne l'a pas pensé. En effet à peu de distance de Roros on trouve la colline de Rohammer qui présente avec celle de Hestekletten les plus grandes analogies . On a de même au sommet m,,,, éruptive qui n'est plus ici saunuritgabbro, mais la serpentine avec fer chromé; à la base on a des chiites les mêmes qu'a Mesteklelten; de même on rencontre sur les deux versants de la pyrite à divers niveaux . De même le pendage des schistes et des gîtes est dirigé de manière à donner une sorte de cuvette. On pourrait croire par conséquent tout aussi bien qu'a Heste Kletten que les couches se prolongent sous la serpentine et que celle-ci n'a pas de racine cependant en suivant le gîte par une galerie on est [illisible] butter contre la serpentine . Cet exemple contrebalance celui de Mug Grube; M kjerulf a donc proposé la coupe suivante :