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317 legeres, prennent le dessus. L'ouvrier de moment en moment son son crible de l'eau et il le pose sur une petite planche placée transversalement à la cave, puis avec un petit racle, il enleve les parties legeres et pauvres en manerai qui ont pris le dessus, il rejete les mêmes operations jusqu'à ce que le minerai pauvre, c'est à dire qui est mêlé dans la gangue soit separé de celui qui encrite d'être fondu ; quand ce dernier est suffisament puriffié il est mis dansune caisse à côté pour être transporté à la fonderie, puis le cribleur remues du minerai dans son crible pour le netoyer de la même maniere, ainsi de suite. Les matieres enlevées de la surface quoique très pierreuses, contiennent néanmoins encore des substances metalliques qui sont adhérentes aux petit morceaux de quartz, spath ou roche. C'est pour en tirer parti qu'on transporte ces dechets des cribles au bocard pour y être boyés et traités. La grandeur des mailles du crible doit être proportionnée à la grosseur des matieres que l'on y traite, si se sont des minerais d'argent, ce qui passe au travers du crible est souvent assés riche en ce métal pour être fondu sans autre preparation, ce qui vient de ce qu'en brisant le minerai avec sa gangue, le premier comme beaucoup plus tendre se reduit en pression ou en grains plus deliés que cette gangue qui est infiniment plus düre, mais quand on lave aux