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SUR LES PRÉPARATIONS MÉCANIQUES.
ÉTUDES
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Tableau n° II relatif à des corps de mémo densité et de nuitne volume, mais de formes différentes tombant dans une profondeur d'eau de G mètres. Numéros des séries.
Sphère. .
tu. V. VI.
vu.
Viii.
lx. X.
xi.
. .
Cube
Cylindre i Cylindre u Cylindre
Prisme t
Durée
DIMENSIONS
Forme.
Diamètre.
Épaisseur.
millimètres.
millimètres. ri à 15
14 11
à à
15
11
à
15
12
17 20
3
.
8
Prisme 2 . Prisme 3 . Prisme 4 . Cylindre 4 Cylindre 5
17 22 63
sur sur sur
sur
1
à
13
à
12 14
7
8 19
23
31/2
26
42
5/1
6
26
à
27
5
à
7 4
Iii 3à
4
1/4
de la chute. secondas. 3,91 5,85 5,25 6,50 7,16 7,33 7,60 9,25 8,33 9,50 10,67
OBSERVATIONS.
1. La durée de chute a varié de 3 à 4".
VI. A varié de là r. Su correspondaient à des descentes en spi-
rale, 7" à des chutes verticales. A été jeté à plat ou dans le sens de son grand axe, sans variation dans ce temps de chute.
Tombait à plat, qu'on le jelat à plat ou dans le sens de son
grand axe.
- XI. Toujours jeté à plat, a néanmoins varié de Io à il".
Il suffit de rapprocher les deux tableaux I et pour reconnaître à première vue que les variations de forme ont sur la durée des temps de chute une influence encore plus prononcée que les variations de calibre. En effet, il Lut une différence de calibre dans le rapport de t à 2 pour donner lieu à une différence dans les temps c.le chute dans le rapport de o à moins (.> 1 1/2 , tandis que cette différence de t à 1 1/2 se trouve produite par les différences de formes les plus petites possibles, pour ainsi dire , par celle qui existe à volume égal entre la sphère d'une put , et un
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lincLu ou un cube de dimensions égales, à th près, au diamètre de cette :plière. On voit, en outre, que l'allongement des formes, et surtout leur aplatissement, sont les causes de la qui contribuent le plus au ralentissement chute. Enfin à allongement égal , les formes anguleuses paraissent être une cause de ralentissement plus grandes que les formes arrondies.
Comme les formes variées des grains produits de napar le broyage des minerais ne sont pas exprimées géométriquement , on ne ture à être du tableau n'II que les inductions peut guère tirer
générales qui viennent d'être énoncées. Nous
nous bornerons donc à conclure de ce qui précède que, dans l'étude qui nous occupe, ii ne saurait être permis de faire abstraction de la forme , et que c'est uniquement par des experiences directes
qu'on peut connaître, même approximativement, à quel degré cet élément influe sur les temps de chute des différentes substances qui entrent dans une même classe de grenailles ou de sables préparés à la manière ordinaire. De même, l'expérience seule peut apprendre entre quelles limites sont habituellement comprises les variations de calibre propres à chaque substance et à chaque classe de grenailles et sable.
Néanmoins l'expérience seule, directement appliquée aux substances minérales, n'au .ait pas pu nous conduire aux notions spéciales que nous ve flous d'acquérir, parce que les différents'élétnents qui nous intéressent n'auraient pas pu être considérés à part. Dans les expériences complémentaires qu'il me
