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4-1°

Plus petite section

Érn oEs

fragments appartenant aux groupes extrêmes des classes de cet ordre. Cette anomalie est uniquement le fait de la maMère dont nos expériences ont été établies; il y a tout lieu de croire qu'en grand elle disparaîtrait et que les résultats trouvés pour le quarz à l'état de sable se reproduiraient pour les grenailles (l). La deuxième classe de nos diversesgrenailles

des grenailles ou ne satisfait nullement loi à la déduite des trois des sables autres et vérifiée par les chiffres relatifs aux sables. restant sur cribles

àrnailles carrées.

On verra plus loin à quoi tient cette autre anomalie. Mais dès maintenant nous sommes en droit de conclure définitivement que pour des trous ronds aussi bien que pour des mailles carrées, avec des cribles fort différents d'un numéro au numéro suivant, non moins qu'avec des cribles excessivement rapprochés , il reste toujours Sur un crible donné des grains qui refusent de pasrer,

SUR LES PRÉPARATIONS MÉCANIQUES.

4i t

bien que leur section transversale ne soit, pour 3 seulement de l'ouvercertains.quartz, que le ture des trous ou des mailles de ce crible. La petitesse relative des plus petits grains n'est pas constamment aussi extrême : elle varie avec les diffé-

rents minéraux, probablement en raison de leur structure, mais la section des plus petits grains ne parait jamais être supérieure à 1/6 ou à 1/5 au plus de' la section des plus grands. C'est du moins ce qui résulte pour la houille et pour la galène des données que nous avons déduites des sables et que l'examen des grenailles a confirmées. La section moyenne des grenailles et des sables néraux qui ont été l'objet de nos expériences, est nécessairement comprise entre la section des plus gros grains et celle des plus petits , c'est-à-dire

entre la moitié de l'ouverture des trous ou des mailles et chacune des trois fractions 1/3, 1/6 et

(1) De plus, ces résultats, loin de devoir être considérés comme des maxima applicables à des proportions de matières négligeables , sont au contraire des minima qui, dans la pratique courante, se rapportent à des proportions fort importantes. Ainsi , sur des échantillons qui m'ont été remis par M. Bérard, constructeur d'une nouvelle ma-

être produits postérieurement au lavage, car le schiste séparé de la houille présentait, dans les mêmes circonstances, des résultats analogues , savoir des différences

prendre moi-même dans l'appareil établi à Bruxelles , j'ai trouvé. entre les plus gros grains et les plus petits d'une

phis gros grains et celui des plus petits ont même été de 170/10 et jusqu'à 270/10, quand on n'a considéré

chine à préparer la houille, échantillons que j'ai vu

même- Classe (après lavage , il est vrai) des différences en poids gni ont -varié avec les différentes classes de 5olio A 120/10 pour la houille de Lagrappe. Les grains composant

les lots extrêmes de chaque classe qui ont présenté ces différences avaient été choisis de manière à réunir dans la même catégorie tous ceux qui paraissaient sensiblement égaux ; ils formaient un total variable de 4 1/2 'à 3o

p.Lroo de l'ensemble de l'échantillon. On ne saurait oh-

jfer que les petits grains de chaque classe avaient

Sectim

moyenne

appartenant aux différentes classes des trois mi- des grenailles ou

qui ont varié de So/io à 13o/ 10, pour des quantités

de gros 'grains et de petits égales , en somme , à 1;7 du total moyennement. Les différences entre le volume des que les grains extrêmes , lesquels n'en représentaient pas moins encore plus de 0,02 du total. Or dans ces différents cas la forme arrondie des fragments de ce schiste roulé pendant le travail des cribles à piston témoignait que ces petits galets n'avaient pas été brisés pendant le transport. L'appareil Bérard opère le classement à sec sur des cribles

en tôle plane percée de trous ronds il produit cinq classes de grenailles ou de sables à partir du calibre de &,o9.5 environ, jusqu'à celui de o`u,00t.

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rs taebnI easn

à une même classe.