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ÉTUDES

SUR LES PRÉPARATIONS MÉCANIQUES.

poussières de même nature et de même calibre quand on avait pris les précautions convenables pour assurer leur indépendance pendant la chute. Pour ce qui est des chocs possibles de la part des grains rapides contre les grains lents, je n'ai pas d'expériences à citer, mais l'effut nuisible dû à cette cause ne doit pas être très-prononcé, car il n'est possible qu'au point de départ , à un moment où l'agitation de l'eau causée par l'immersion du sable doit bien vite séparer les grains d'inégale vitesse qui pourraient se trouver super-

Eu égard à la variation du calibre des grains (variation qui a eu lieu dans le rapport de i à 4

posés.

diamètre que ceux qui avaient servi à former notre. grapde colonne; cependant la différence entre les deux diamètres de o',12 et de o",20,

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Effet

des réactions indirectes.

Quant aux réactions indirectes, elles sont moins saisissables par elles-mêmes. Pour apprécier l'effet des résistances dues à cette cause complexe, je me suis cru obligé de recourir à deux hypothèses différentes qui, relativement aux grenailles et aux sables et très-probablement aussi pour les poussières, paraissent conduire au même résultat. On jugera si ces hypothèses sont admissibles. J'ai supposé, ainsi

qu'on l'a vu précédemment, que les résistances causées par les réactions indirectes pouvaient être considérées comme analognes à celles que produi-

rait pour un grain isolé, soit un rapprochement convenable des parois du tube, soit Une augmentation de densité du milieu dans lequel se fait la précipitation.

Les matières soumises à cette nouvelle série d'expériences ont été classées au moyen des douze

cribles à trous ronds dont nous nous étions déjà servi pour les expériences précédentes. On a opéré sur des grains de calibre sensiblement uniforme,

choisis parmi les plus gros de ceux qui avaient passé par les trous n" i, 4, , et j i dont les diamètres figurent sur notre tableau n° IV.

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au moins relativement 4t_ix dimensions) , j'ai cru pouvoir me dispenser de faire varier le diamètre

du petit tube vertical dans lequel les grains étaient jetés un à un. Ce diamètre était de ro millimètres et la hauteur d'un mètre. Le grand tube pareillement vertical qui avait été pris pour terme de comparaison avait même hauteur et 0'02 de diamètre. Peut-être eût-il mieux valu employer un tube de 0-,20 , c'est-à-dire de même

semble avoir été sans influence notable sur les résultats, à en juger do moins par les temps de chute des plombs de chasse préeipités d'une part dans le tube de om,20 pendant les expériences qui ont donné lieu au tableau n° I, de l'autre dans le tube de c"', 12 pendant les expériences suivantes, qui

pedonné lieu lw tableau n'IV. On a eu soin d'opérer successivement sur les mêmes grains dans le tube de o!9,12 de diamètre

et dans celui de om,ot. Quand on opère sur un petit nombre de grains, cette précaution est de toute nécessité pour avoir des résultats concluants.

Quant aux densités des liquides mis en expérience comparative, elles ont varié de r à 1.5o8. Si ces variations du calibre du tube et de la densité du liquide ne sont pas tout à fait suffisantes pour représenter les plus grandes variations qui peuvent, à 14 rigueur, se présenter dans le cours des préparations mécaniques ordinaires, elles suffisent

pour les,minerais bruts les plus fréquents, et elles ffl#, rèsJarge pag rapport à un système de lavage