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De Transcription | Bibliothèque patrimoniale numérique Mines ParisTech
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EXPLICATION DES PLANCHES.

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Tuyau amenant, d'une machine soufflante, l'air nécessaire pour brûler le gaz dans le laboratoire a. dl Tuyau à courbures multiples, dans lequel l'air amené par le tuyau d s'échauffe par le rayonnement et le contact des escarbilles du

EXPLICATION DES PLANCHES.

d

d2

cendrier, du combustible et de la maçonnerie du foyer c. Tuyau en fonte qui met en communication les tuyaux à air chaud avec la tuyère e.

c

d

e Robinet destiné à régler la quantité d'air chaud admise dans le laboratoire par le tuyau e et la tuyère e. e

Tuyère plate en tôle, spéciale aux fours à gaz carinthiens, projetant avec une grande vitesse l'air chaud nécessaire à la combustion du gaz dans le laboratoire a; elle est représentée avec détail sur les fig. 6 à 10.

et

Orifice en tôle forte, formé de deux plaques boulonnées à la tôle mince

qui forme le corps de la tuyère e, et qui peuvent être renouvelées à peu de frais. e2 Petits coins en fer forgé introduits de distance en distance dans l'orifice et, et maintenant les deux plaques de cet orifice à l'écartement voulu. Rampant par lequel les gaz combustibles développés dans le foyer c, débouchent dans le laboratoire a, sous le vent de la tuyère c qui les brûle avec énergie. g Rampant par lequel la flamme sortant du laboratoire a se tend dans la cheminée i. h Plan incliné sur lequel coulent les scories k formées dans le laboratoire et dans le rampant, pour se rendre hors du four. i Cheminée recevant la flamme sortant du laboratoire a et du rampant g. k Scories s'étendant sur le sol au fur et à mesure qu'elles tombent du plan incliné h. PL. VIII.

PROJET D'USINE CENTRALE.

f g

FIG. 1 à G.

i

k

PRÉPARATION DU LIGNEUX ET DU

Atelier mobile poser la reprise et le sciage du

bois flotte. a

al ta ot2

b 61

Chaudière à vapeur formée de deux cylindres juxtaposés, ayant chacun deux tubes Intérieurs. On les remplacera vraisemblablement avec avantage par les nouveaux générateurs à serpentin. Réservoir de vapeur. Foyer de la chaudière a. Cheminée du foyer a2. Cylindre de la machine à vapeur qui donne le mouvement aux appareils mécaniques de l'atelier. Arbre de la machine à vapeur, avec manivelle, volant et deux pou-

lies, communiquant au moyen de courroies, le mouvement aux plateaux qui élèvent le bois, et aux scies circulaires qui le débitent en billons. Poulie fixée sur l'arbre 134 elle transmet le mouvement à l'arbre d. Arbre avec quatre poulies : une poulie reçoit le mouvement de la poulie e; deux autres poulies transmettent ce mouvement d'une manière directe à deux scies circulaires ; la quatrième poulie transmet, par l'intermédiaire de l'arbre e, le mouvement à deux autres scies. Arbre avec trois poulies : une poulie reçoit le mouvement de l'arbre d; les deux autres transmettent ce mouvement à deux scies. Quatre scies circulaires mises en mouvement par les poulies des arbres d et e. Tables placées devant les scies pour recevoir les bois à scier. Plans inclinés placés derrière les scies et sur lesquels glissent les billons débités à la scie. Poulie fixée sur l'arbre bi de la machine : elle transmet le mouvement à l'arbre la (fig. 4 et 6). Arbre placé à la partie supérieure de l'atelier il porte deux poulies,

l'une qui reçoit le mouvement de g, l'autre qui transmet le

CHARBON.

(Consulter, outre la présente explication , le texte (12) et (27).]

M7

mouvement à un deuxième arbre i entièrement semblable à h. L'arbre porte à l'une de ses extrémités une roue conique qui engrène avec le système des roues coniques kik' montées sur l'arbre k. Arbre recevant par une poulie le mouvement de l'arbre h: il porte à l'une de ses extrémités une roue conique qui engrène avec le système des deux roues coniques Nt montées sur l'arbre 1, placé lui-même dans le prolongement de k. Arbre portant deux roues folles coniques k,,k, tournant constamment en sens inverse : cet arbre tourne alternativement dans deux sens, selon qu'il est mis en communication avec l'une ou avec l'autre roue par le manchon k2. L'arbre k transmet lui-même,

au moyen d'une poulie fixe le', son mouvement alternatif à deux plateaux m et ml, qui successivement montent une charge de bois ou descendent en chercher une. au niveau du cours d'eau flotteur. kiki Deux poulies folles sur l'arbre le, engrenant avec deux points extrêmes de la roue conique de l'arbre lacet tournant constamment

en sens inverse : elles laissent en repos l'arbre k, sur lequel elles sont montées, ou lui transmettent l'un ou l'autre des k

deux mouvements opposés, suivant la position du manchon k2. Manchon glissant librement dans une rainure longitudinale pratiquée sur l'arbre k, entre les deux roues Pitt, et qui, manoeuvré par le levier 10, peut à volonté rester indépendant de ces deux roues ou se fixer à chacune d'elles au moyen d'une griffe. Le