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( e2 ) environs:, Elle est d'ailleurs la plus étendue et la plus puissante. -

La pierre calcaire , qui est voisine du toit et qui le receuvre, a les principaux caractères du ealeareus cequabilis; mais quand on la frotte, elle exhale une odeur bitumineuse; .sa couleur est d'un gris plus ou-moins rougeâtre ,;

approchant du. gris de .perle. Sa cassure est raboteuse, tenant de l'écailleuse. Elle rene fermé des veines spathiques et présente des points brillans. On n'a trouvé, jusqu'à. pré-

sent, aucune pétrification dans cette pierre. Le toit n'en contient pas non .plus. La pierre dont il est composé est plus pénétrée de bitume. Sa cassure est inégale et obscurément schisteuse. Elle est. d'une couleur mate inté-

rieurement, mais luisante dans ses délits, ce

'qui est dû au bitume qui s'y trouve par

feuillets minces, et que l'on reconnoît distinctement. Sa pesanteur spécifique est de deux mille quatre cent soixante; ainsi, :elle est rangée parmi les peu pesantes. de V.Vecner. Elle brûle et s'enflamme, mais assez. difficilement. La couche. de houille peut etre considérée comme composée de deux parties, l'une in-

férieure où la houille -est pure ,. l'autre supérieure, où, elle est ehargée d'élémens calcaires.

La houille :de la partie inférieure est d'un beau noir foncé ; quelques morceaux offrent les couleurs dc l'iris., Cette houille .est légère; sa pesanteur spée officine n'est que do Mille .quatre cent quatreevingt- onze.

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Plus cette houille approche du toit, moine

elle eSt'pure ; let: parties calcaires, dont elle sé charge augmentent sensiblement sa gravité spécifique. Sa couleur devient d'un brun noirâtre.

'Les auteurs du mémoire ont reconnu que cette houille contient du fer, de la manganèse, de la terre argilleuse, et de l'acide vitriolique. Se S cendres ont une couleur rougeâtre et ne font point effervescence. 'Cette bouille,. en brûlant à feu ouvert, répand d'abord une fumée blanchâtre qui de-

vient grise, et puis brune, par degrés. La

première odeur qu'elle exhale est aromatique' et analogue à celle du. naphte; .bientôt après cette fumée s'enflamme. La arrime est blanche, légère et tranquille:. le degré. de chaleur augmente toujours ; la houille passe à l'état 'dei-arasement ; elle deviedt ronge et ardente; alors la flamme cesse; les 'fragynens de houille s'étendent, se gonflent et ,s'agglutinent. P'ap;rès ,diverses expériences., dont te dé--.-

tail séroit trop long pour cet extrait, et que

te public trouvera dans le mémoire mémo des auteurs, dont on ne peut que les inviter d& le faire jiiir, ils concluent que la houille du petit ha:mand est de - la .meilleure_ dire de celle qui brûle avec une c est flamme qui n'eSt pas ,très- vive, mais qui sou-tient long-temps an .einbrilsement très -vif; ils.

pensent (ju'elle doit être très-bonne pour la' service des forges et des maréchaux. Ils' ajOutent que le tott de cette mine, étant. B