.MTUx.NDEyOTU

(22) FLEXION S.

Explication des flerCS.

On voit que les flèches portées sur leur pivot font, dans cette machine, l'effet d'un. manège oieriaire , à l'extrémité de l'arbre duquel ortwauroit fixé une manivelle. Dans' ce cas, cet arbre seroit porté en bas sur une crapaudine ; et il seroit en outre pris en haut dans un collet, ce qui feroit deux fryttemens. Ici on a rapproché, et, pour ainsi dire, confondu les deux frottemens , et par cette dis-

position, on en a formé une machine qui n'exige point de charpente pour l'établit', ce qui fait son principal mérite , pouvant être déplacée et transportée aisément d'une reCberche à une autre. Quoique cette machine n'ait pas le mérite de lanouveanté, puisqu'elle existe depuis longtemps à Paris même ; quoique l'inégalité du

mouvement et celle du frottement sur le pivot , sur-tout quand d n'y a qu'un tirant horisontal , .soit un inconvénient réel.; nous avons cru néanmoins devoir la publier, parce

qu'elle n'est pas fort connue, que son utilité à- été confirmée par l'expérience, et qu'on peut l'appliquer avec avantage aux recherches dès mines , aux- exploitations naissantes , et même aux usages. domestiques.

La figure première représente cette machine en plan, et la figure. deuxième en est le profil.

A. Pivot sur lequel tournent les deux bras

,

de levier.' Gros boulon traversant l'un des bras de levier , et tenant lieu de manivelle. Leviers à l'extrémité desquels s'ai.tèlent les chevaux. La chasse , corbestari, bielle, ou tirant horisontal.

La croix, ou varlet. Caisse dans 'laquelle on met un poids suffisant pour faire çontrépoids et égaliser le mouvement de la Machine. Chassis portant la croix, on varlet. G-. Tirant vertical auquel s'attachent> les tigesdes pistons des pompes. -

H. Le puits. I. Le cruche,: ou potence' qui, conduit la-

the d'un des pistons des pompes. Tige de fer à l'extrémité de laquelle -est le piston.

Corps de pompe. dans lequel joue le piston.-