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/IXCLINAISON
263
CHEMINS DE FER 13E L'AUTRICHE.
CHEMiNS DE FER DE L'AUTRICHE
2.62
OPORTIONNELS INOSIBIIES aux poids limites des trains, à la marche normale.
de 6', 7, 8, 9 ou o millimètres, réduit le poids des trains proportionnellement aux nombres suivants
de
la rampe, i.
Trains do voyagent,.
RAMPES
Tralns de marchandises.
de 5 mill. de O mill. de 7 mil!. de 8 mill. de 9 mill. dote mill
mIllim. 0
1.000
1.000
0.847
0.826
2
0.735
0.659
3
O. SiS
0.010
4
0.585
0.641
0.523
0.483
0.481
0.439
0.144
0.402
0.411
0.360
0.383
0.342
10
0.360
0.318
Il
0.338
0.298
0.3/8
0.281
13
0.300
0.265
14
0 286
0.251
0.272
0.238
0.258
0.226
0.217
0.215
0.237
0 206
0.223
0.198
0.219
0.190
21
0.21 t
0.182
22
0.203
0.176
23
0.126
0.169
24
0.129
0.163
25
0.183
0.133
16
19
Ce tableau résout complètement la question que nous nous sommes posée. 11 est impossible dans la pratique de construire une ligne où les pentes soient rigoureusement nulles. L'expérience a conduit à considérer la pente de 5 comme la limite des pentes faibles ; *c'est aussi la limite usuelle au-dessus de laquelle on a recours aux freins. En admettant donc que les pentes au-dessous de 5 soient une nécessité de la construction d'un chemin quelconque, on voit qu'une rampe
En grande vitesse.... En petite viteSse..
.
.
1.000
1.000
0.911
0.909
0.81,4
0:778
0.725
0.682
0.832
0.761
0.700
0 658
DE L'ADHÉRENCE.
Si l'on multiplie le poids total qui pèse sur les essieux moteurs d'une locomotive, par le coefficient du frottement du fer surie fer, ou de la roue sur le rail, on a la mesure de l'adhérence totale ; elle doit être supérieure à l'effort de traction maximum. Dans les rampes on doit remplacer le poids des essieux par la composante de ce poids normale au plan de la voie ; mais comme les inclinaisons sont toujours assez petites, on peut admettre que l'adhérence ne subit pas de diminution sensible quand la machine s'engage sur un plan incliné. Ce qui fait varier l'adhérence, c'est le coefficient du frottement, lequel diminue beaucoup lorsque les rails sont humides. Dans les temps secs, il est égal à 1/6; mais on ne peut compter sur la conservation de cette haute valeur, et on réduit à o. so la valeur pratique de ce coefficient. Le poids qui pèse sur l'ensemble des essieux moteurs doit donc être décuple de l'effort de traction maximum. Pour la conservation des bandages et des rails, il ne faut pas que le poids d'un essieu moteur excède 12 tonnes. On saura donc toujours le nombre d'essieux qu'il faut accoupler pour produire l'adhérence nécessaire. Les diverses
parties de la -machine doivent être distribuées de manière à réaliser les pressions convenables sur chacun des essieux.
