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DES ANGLES DES CRISTAUX.

SUR LA MESURE

ment prononcés, soit parce que j'avais remarque, dans les rhombdides extra4ts par la division

mécanique dont j'aurais pu me servir, des inégalités qui altéraient le niveau des faces. Parmi un grand nombre qui se trouven.t maintenant

Ir

dans ma collection, j'ai choisi ceux dont les faces approchent le plus d'être exactement planes , au moins dans les parties qui avoisinent leurs arêtes de pnction , et la plus grande incidence, prise à l'aide du goniomètre , -a toujours paru être plutôt de io41 L,

que de io5a. Des naturalistes exercés à manier le même instrument , ont vu comme moi. Je sens néanmoins que tous ceux qui savent à quel degré de justesse 'peut atteindre le cercle répétiteur manié par des mains aussi habiles que Celles de M. Malus, ne pourront se défendre de rejeter les différences entre les résultats sur les petites erreurs inévitables des mesures prises avec le goniomètre , jointes à quelques déviafions imperceptibles dans le niveau des faces de mes rhomboïdes. Mais tout ce que je prétends conclure des faits que j'ai cités , c'est qu'à en juger d'après les moyens directs de vérification que les naturalistes ont en leur disposition , et qui réunissent au mérite de la commodité celui d'une précision suffisante pour le but qu'on se propose en les employant , on ne serait pas tenté de substituer le rapport V=.7 à celui de

VT, qui , d'un côté en diffère si peu par sa valeur, et de l'autre a sur lui un si grand avantage, par la simplicité de la limite dont il dérive. ,La faute qui aurait pu être commise en l'adoptant dans , préférablement à tout autre , 'était , j'ose le dire , inévitable $

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parce- qu'elle s'offrait avec tous les caractères d'une plus grande perfection: Au fond, la correction que nécessiterait le rapport V-?--;1- dans les valeurs des angles secon-

daires

, ne porte aucun préjudice réel à la

théorie. J'ai fait de moi-même ,. depuis l'impression de mon Traité, des changemens plus considérables à quelques-unes des valeurs .qui m'avaient servi de données , ainsi qu'on pourra le reconnaître, en lisant les articles tourmaline, étain oxydé , etc. La correction dont il s'agit

laisse d'ailleurs intactes toutes les propriétés générales du rhomboïde, dont la plupart se trouvent réalisées par la cristallisation, comme le rapport entre l'axe du noyau et celui de la variété qui naît du décroissement D (Traité, t. i, p. 33o); la double existence de cette Même

variété, à l'aide d'une loi simple et d'une loi intermédiaire (Traité, t. i, p. 35, et Journ. des Mines, no i33, p. 5o); la production d'une forme semblable à' celle du. noyau, en vertu d'un décroissement sur les angles inférieurs (Traité, t. i, p. 335 , et journ. des Mines, ibid.) etc. Cette même correction n'altère que

certaines propriétés inhérentes au rapport Kr, comme celles qui ont suggéré les noms d'in-. verse , de métastatique et de contrastanell en résulte que des angles qui devraient éti-"e" égaux

sur les formes que ces noms mettent eu relation l'une avec l'autre , diffèrent d'une quantité qui varie depuis quelques minutes jusqu'à environ un degré. je pense néanmoins que, dans

le cas oilele rapport //7 serait pris pour défi-

nitif, on devrait conserver encore les noms dont il s'agit , _ comme expirant des résultats qui