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CONSIDJRATIONS C1NÉR AIES

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résistances qui agissent dans les machines , et

d'appliquer ces considérations générales 4 chaque machine en particulier en consé:

quence, , j'ai d'abord exposé les lois générales

du mouvement des machines ; j'ai exposé ensuite les résistances étrangères et les autres causes de déperdition d'effets qui se rencontrent en général dans toutes les machines, comme le frottement, la résistance des fluides, la roideur des cordes, la flexibilité des parties de la machine, le jeu de ces parties, leur inertie,

choc et changemens brusques de .directions des corps en mouvement, l'étranglement des tuyaux de conduite , l'inégalité du mouvement. Après avoir cherché à faire apprécier en général l'influence de ces causes de déperdition d'effets dans les machines, je passe à l'application de tout ce qui précède aux machines en particulier, que je divise en quatre classes, savoir : machines qui ont pour moteur la force de la pesanteur ; machines mues par la force dilatante du calorique et les ressorts ;

machine S mues par la force musculaire de

l'homme et des animaux; enfin machines mues par la percussion des corps, et particulièrement

des fluides. Chaque classe se soudivise, suivant les résistances à vaincre, en quatre classes ou espèces : la première comprend les machines

dans lesquelles il s'agit d'élever des poids ou de

vaincre la pesanteur; la deuxième comprencl les machines qui ont pour résistance principale

la force du calorique , comme les machines soufflantes; la troisième renferme les machines qui ont à vaincre la résistance des fluides; enfin

Ta quatrième renferme la Machines qui ont

SUR LES MACHINES EN MOUVEMENT.

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pour résistances principales des forces passives , comme le frottement, etc. Si ces divisions ne suffisaient pas, on pourrait soudiviser encore ces espèces suivant la nature du mouvement, rectiligne, curviligne, continu ou alternatif, que présente la machine. Machines LEs considérations suivantes sont principa- auxquelles lement applicables aux machines puissantes sont appliles ou destinées à vaincre de grandes résistances, cables considéradans comme la plupart des machines employées tions dont les constructions, dans les épuisemens , dans il s'agit. l'exploitation des mines, dans les transports, etc. dans lesquelles l'économie du moteur, toujours plus ou moins puissant et plus ou moins dispendieux, devient de la première importance. Une machine en mouvement présente trois la puissance ou considérations principales : la force qui imprime le mouvement ; la résistance qui est surmontée par la puissance ; 3° la machine proprement dite, qui est un intermédiaire entre ces deux forces, destinée à trans-

mettre l'action de l'une sur l'autre, en produisant le mouvement suivant certaines conditions. On est toujours bien Maître de ses défini- N.. tions ; cependant on ne peut guère, dans une Diéfli,telfteiot.n machine en mouvement, appeler effet de la puissance ou du moteur, autre chose que le produit Qq, ou le produit de la résistance vaincue , multipliée par l'espace qu'elle" décrit en sens contraire de son action. Car c'est toujours là le but qu'on veut remplir, et qu'on est intéressé à remplir, et la machine est dite

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