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en deux lopins qui sont réchauffés. Chaque lopin donne finalement naissance à 3 rails [illisible]. L’opération du martelage est faite avec grand soin, toutes les parties défectueuses sont détachées . Il est à remarquer que ce martelage de lingots fondus ne fait sortir aucune scorie, ce caractère permet de reconnaître
immédiatement que l’on ne martelle pas du fer.
Les lopins sont réchauffés une troisième fois et passent alors au laminage . Les laminoirs sont réversibles par la simple action d’une coulisse de [illisible] . La réversibilité à l’avantage de faciliter énormément les manœuvres et de les rendre plus rapides. La bielle au lieu d’agir sur une manivelle à son extrémité
attachée à une roue pleine calée sur l’un des arbres tournants .—Quand la pièce
arrive à une certaine longueur on la supporte sur une série de cylindres en fer
placées dans le parquet . Ces cylindres sont eux-mêmes en connexion avec la
machine et reçoivent un mouvement de rotation qui déplace automatiquement
la pièce. Les ouvriers n’ont donc qu'à soulever l'extrémité pour l’engager dans les cannelures.- Les laminoirs et les marteaux suffisent pour une production de 1300 tonnes de rails finis par semaine . On a même obtenu du lundi au samedi inclusivement une production de 1460 tonnes En pleine marche et dans les conditions normales on a donc par semaine 24 fours à puddle produisant chacun 65 tonnes ——————1560 tonnes 2 laminoirs pour rails produisant ——————————— 1300 t Reste un excédent de 260 tonnes Cet excédent passe principalement à la fabrication des cordes d’acier et des roues de wagon. Fabrication de cordes d’ acier — Dans la partie J de l’usine les appareils comprennent : 2 four a réchauffer et un laminoirs — trio; celui ci est déservi par les gamins ; Le cable est enroulé avant refroidissement sur la forge d’une poulie tournée également par un gamin Fabrication de wagon — On prends un