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Après la saignée le puddleur ouvre l [illisible] figure le feu et agite la [illisible] avec un table jusqu'à ce que l'ébullition couvre par le départ de CO commence à apparaître. Il faut alors une chaleur intense. Si le four est mal [illisible] ou le charbon de qualité inférieure, il faut une ébullition plus prolongée. Le soufre et le phosphore qui restent encore ne disparaissent qui agrès haute température .Il eut bien reconnu que lorsque la scorie contient beaucoup de manganèse le phosphore et le soufre s’éliminent plus complètement au bout de quelques minutes le fer commence à prendre nature le puddleur se met à racler de nouveau . Si on est à partir de fonte blanche et impure pauvre en carbone il faut alors baisser la [illisible] mais avec de la bonne fonte grise et riche en carbone cela n’est pas nécessaire car dans ce cas il faut une forte chaleur pour chauffer toutes les matières étrangères. Après deux ou trois raclage on peut former la loupe; cela est beaucoup plus facile avec un fer fort qu’avec un fer faible et chargé de scories. S’il on a besoin de fer à fin [illisible] ressemblant à l’acier on baisse d’abord la valve et on forme la lampe puis on l’enlève aussi vite que possible mais quand on veut avoir du fer nerveux la formation de la loupe est faite avec plus de lenteur afin de « nettoyer » le métal . Une lampe qui n’a pas eu le temps de se « nettoyer » est désigné par les puddleurs sous le nom de « loupe en deuil » à cause de la couche noirâtre de scorie qui l’entoure lorsqu’on la retire et dans ce cas toute la scorie n’est pas expulsée par le marteau
- la cassure n’est pas homogène mais elle est formée de très petites parties cristallines. —Il
est très important durant la formation de la loupe de maintenir un fer solide car le moindre filet d’acier froid passant à travers la grille oxyderait sensiblement le fer .— Le puddleur cherche en [illisible] sa lampe s’il voit quelques parties encore noires et