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Châteauxvitrifiés répandus en plusieurs points. Le plus accessible et celui quej’ai examiné avec le plus de détails est celui de CraigPhadrig . Au sommet d’un piton granitique isolé et dominant toute laplaine se trouve une sorte de plateau gazonné qui au premier abord attire à peine l’attention. En regardant avec soin on remarque que ce plateau estbordé par deux saillies [illisible] écartées de 20mètres et courant du nord au sud sur une longueur de 60 mètres environ. Si maintenant on fouille le sol sous le manteau de gazon plutôt que si on met à profit les cavités creusées par les anciens visiteurs on s’aperçoit que les deux saillies et l’espace qu’elles comprennent sont formées d’un mélange bizarre des roches les plusdiverses. Des fragments de grès de granite de ker santons de [illisible] setrouvent pêle-mêle sans que leurs formes anguleuses permettent de penser àun phénomène de transport. Il y a donclà , on peut l’affirmer une constructionhumaine. (ce que le 1er coup d’œil ne porterait nullement à croire)Continuant plus attentivement les recherches on trouve bientôt de place enplace des pierres totalement oupartiellement scoracées et parfois à l’état ponceux , parfois même plus oumoins vitreux . Je n’ai pu trouver la aucun morceau qui ressemblât absolument à du verre, mais à[illisible) autre château vitrifié au pied du Ben [illisible] on rencontre des fragments semblables à [illisible] . J’enai rapporté un échantillon Quelleorigine faut t’il attribuer à ce genre de phénomène ? Lesarchéologues du pays ne sont nullement d’accord . On a prétendu qu’il yavait là des châteaux forts dont les parois avaient été à dessein vitrifiées pour les rendre inaccessibles