.NTAz.MTIyNjA2

( 52 > dans exercices et ont les autres des l’année; entreprises datent précédents été simplement continuées en 1881. Cette distinction, d’une certaine au importance de vue de la des aux recherches, a été in— chiffres annuels relatifs point comparaison troduite dans le tableau résumé ci-dessous qui peut se passer d’autres commentaires. été On remarquera toutefois que 48 de ces recherches, en France, et 18, en Algérie, ne terminées à la fin de l’année et se sont paraissaient pas probablement pour— suivies pour la plupart fait l’objet de demande 1882. en Quelques-unes cependant déjà d’entre elles avaient concessiou. en ALGE’RIE. FRANCE. 30H82}: DE NATURE DES SUBSTANCES. Suivie; mu" de de— menées me ndcs TOTAL. en 188" sonner: RECHERCHES v l'argus" saut abunv cession. données. en œn— pnrais- Combustibles . . Minerais de fer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres minerais métallifères Sel gemme . . . . . . Autres substances . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . (bitume, barytine, pétrole, soufre. ocres} °°m' non mena", TOTAL. en {ermi- nées. ISS!‘ de de- mandes en L'ou- cession. , P‘riu‘ 5m“ abaF' d Dna‘es‘ . Totaux . . . . . . . . La moitié des recherches . . . . . . . . . . . ___ ______ _ sanl son ïcfmi- : nées. :1 a I J? f} G 5 l r; Ô 7 5 l 9 1: u I r: a 3 2 l r 3 ’ ___ 24 . ___ lit _ _ î l _, 18 l en Algérie. travaux les plus importants France, soit Toutefois les de en ont été poursuivis ou entrepris, dans le de la découverte de la houille. Il n’ont tous été couron- pas nés de succès. Ainsi dans la Loire, le creusement du F à puits ay, Saint-Julien-en- Jarret, a été suspendu, après avoir dépasséda profondeur de 600 mètres, par sdite d’une abondante venue d’eau. Le sondage de Moutrond a été arrêté à 502 mètres, sans être à la limite inférieure du terrain tertiaire: il a rencoutré de parvenu courant 1 881, La recherche du sel gemme en vue puis— santes sources jaillissentes, assez minéralisées, d’une de 34 degrés, aux température de et de 500 mètres; {175 profondeurs déjà précédemment il avait recoupe trois niveaux d’eau. Dans le Pas-de-Calais, le sondage de Maisnil a été arrêté dans les grès du terrain dévonien, sans résultat, à la profondeur de 606 mètres. Celui de Leulin- de été abandonné. Ces travaux ont déjà été cités a, même, les ghem recherw parmi ches exécutées en 1880, dans le Rapport concernant cette dernière année. Parcontre, à Marquise, dans le même un département, sondage poussé à äoo mètres a ren- houiller et la houille. Ce combustible a été atteint, à des profon— , opérée fruit soit de sondages, moyen, soit de puits, dans les trois départements de Meurthe-et—Moselle, des Landes et des Basses-Pyrénéen Nous nous bornons à citer le sondage qui a été exécuté à .Ïarville, ainsi dire aux de et a atteint la pour portes Nancy, qui première couche de sel à 2 18 mètres de profondeur. Il est ainsi démontré que le gisement salifère si remar— quable de Meurthe—et—Moselle se poursuit depuis Dienze tout au moins jusqu’à et ceux connaissent la Nancy; qui régularité des bancs de sel gemme dont il est formé, sont fondés à supposer qu’il s’étend bien au delà. Les minerais de fer n’ont donné lieu avec qu’à un petit au nombre de fouilles; en Algérie, d’entre elles, très développées, ont conduit à l’extraction de plusieurs milliers de tonnes d’hématite rouge, dans les communes d’Aïn-Temouchent et de Remchi (département Nous d’Oran). dépasserions les limites de les recherches de mines, dont un si Rapport nous nous étendions davantage sur tableau spécial oilre d’ailleurs l’analyse complète. ce CARRIÈRES. La statistique de l’industrie minérale des carrières, surtout au point de s’occupe vue des accidents qui y surviennent si fréquemment et qui motivent l’intervention des ingénieurs des mines. Toutefois le nombre des exploitations et celui des ouvriers de chaque département gnés dans Tous , contré le terrain été a a eu été dans le formation tertiaire. Z les minerais métallifères, c’est-à—dire la pour objet la calamine, la blende, les difl’érents minerais de cuivre, la galène argentifère, cinabre, la pyrite de fer, auxquels il faut ajouter le sulfure d’antimoine et l’oxyde de manganèse. Plusieurs d’entre elles ont suivies de l’octroi d’une concession, soit et quelques—unes ‘l l , l . _ parus. 53 Puynde-Dôme. Un sondage de 2 16 mè— tres entreprisdans l’Isère, à Chaponay pénétrait de quelques mètres au 3 1 décembre 1881, dans le terrain houiller, et démontrait ainsi l’existence de ce terrain sous la —-———_———n—— IÏ) _ f 1311352116355 Sulï'les sanl. ——.—————-——.—— DE deurs bien moindres, dans l'Allier l ce nos sont relevés annuellement, d’une Recueil. départements, sans moellons, des argiles, des sables Une vingtaine d’entre façon approximative, exception, fournissent de la pierre ou cailloux; la de la plupart, pierre donné des ardoises les et consi— à bâtir à ou des plâtre. Ardennes, l’llle—ethilaine, Maine—et-Loire, la Mayenne, la Sartlie, l’lndre, les CÔtes—du-NOrd, le Finistère, le Morbihan, l’lsère, les Hautes et les Basses-Pyrénées, la Savoie et la Haute—Savoie, les Hautes les eux ont Basses-Alpes, l’Ariège, Tarn, la Dordogne et l’Hérault. Les phosphates de chaux ontété exploités le et : la Corrèze, la Lozére, la Lune-Inférieure, le dans l’Ardèche, les Ardennes, l’Aveyron, Gard, l’Hérault, le Lot, la Marne, la Meuse, le Cher, la Côtend’Or, la Drôme, le Pas—de»Calais, la Haute-Saône, Tarn-et—Garonne, Vaucluse et les Vosges. On a extrait du kaolin dans l’Allier, la NièVre, la Haute-Vienne, la les Dordogne, la les Drôme et Basses-Pyrénéen, Côtes-du-Nord; de la pierre lithographique dans