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(20) qui tûtes motrices il surveiller; la bande entraî— pllmieurs ayant continué de tourner, s‘est échaulléc au point de s‘en- avait nouso, flummgr. L25 trois damiers inccudiss relatés ami-dessus :28 sont pas le: premiers de ce genre. Il: montrent que les installations de convoyeurs d bonds introduisent dans les mères 1m danger nouveau qu’il importa d’écarter par des mesures prétendues de sécurité d’ailleurs prêtons ohm le nou- oeou Régis/ratent général dos Minas de combustibles. Fosse Goycnt. Croupe de Douai, il F décembre. Un incendie de hoisngc s‘est déclaré dans le retour d’air de la salle des locotz‘actems à l’étage 5&0 constitué par une cheminée creusée cr. veine. La base de la cheminée fut bouchée par un bar- rage étanche; l’envoi d‘eau par la tâte de la cheminée n‘ayant pas été efficace, on dut emboucr. Groupe â’Héoin—Lïétord. Puits u“ 3 E, 2 sapin supportant les tôles. les houillèrss du Bassin de la. Loire, des feux ont ou lieu 9118, dansles lentilles Lyon et Rolland de la Grande-Coucbc-Ëtlarseille, à. ïMontrambert ( oupc Riœmtu'ie}. Gus feux se sont présentés l’un ct l‘autre d-unc manière assez semblable à celle du feu du stot des Listas survenu en 1gb}, également en Grande-Couche. Il s‘agit d’échaufi'sments de rem- blais de trombes plates unidescenda'ntes, apparaissant en cou- ronne des tranches un exploitatibn. Le stot subsistant doit être pris ultérieurement et souvent dans des conditions difficiles; il e'u'fc'vrier et juin .t est en effet im ossible cc qui a droyagc retar é“ à de de foudroyer plusieurs Montrambcrt; il méthode d‘exploitation. Il faut a sous stct de charbon, c'est années la généralisation du fou- donc été envisagé de modifier la _ également signaler les feux des G et torzième couche Chaos au groupe Ouest, en treizième Montcbaud [même groupe). et 7 février en quow le feu de décembre s Bassin des C licences. Dans les homilères du Bassin des Cévcnnes, groupe Centre, un incendie de bois s’est déclaré dans les foudroyages dala taille 5 1 1 de la mine Ilicard. Il a été circonscrit et éteint par embounge elfectué avec des pompes Lachat refoulant; dans des sondages poussés jusqu‘aux abords du feu. Un feu, signalé pondant la période de grève dans le groupe Sud, a été difficile à maîtriser à causa du manque de personnel. L‘emboua c avec des cendres decbaudières a été effectué der- rière des arrages d‘argile et des murs en moellons au moyen de pompes Lachat. La partie Est du Plan 1 a de couche 0. N. Û. a dû être abandonnée. . Bassin de Lorraine. Groupe de rats—11min Siège comma, 2 incendie, survenu dans la baraquc de l‘ouvrier préposé à la garde du magasin situé dans un tronçon de galerie à l‘étage a ô par un Marelle. Siège Sainte-Fontaine, Grau 30 veine {a plus loin taille. fie supérieure souterraine des puits I et réchaud électrique resté branché a sans été Un incendie de boisage survenu le 5 février dans Vola'onm. 1c quartier 'lt Pans-168 au sommet d‘un ancien plan à. raclettes, d'un à la confection de pris rapidement l‘ampleur, obligea ayant. derrière lequel la lutte par arrosage devint plus aisée. —- barrage Dauphin. aux étages du Toit,_et La lutte. contre les anciens feux s‘est alto ct 283 notamment en couche tri et a pu éviter tout arrêt d’extraction. — pour5uivic en couche Bassin d’il uner‘gne. SEËnt—EËay-loùfi'ouble. échauffements survenus, deux ont été de pou d‘importance. L’exploitation est d‘ailleurs parvenue à réduire considérablement le nombre des feux fort. nombreux dans le passé (a3 échauffements de 1939 à 1 965 pour la seule section Sud de Saint-Élov) et. qui, naissant tou'ours dans les remblais hydrauliques constitués surtout par des s 'stes de lavoir très pyritsux etc 'dolllæ, gagnaient les parties scbistcuses par- fois abandonnées u gisement. Il n"jr a par contre jamais d’échauf— fements du massif en place. Parmi les quatre {aux ou C homp agmc. Un feu étant survenu le 19 décembre 1 91"41; au buts 13 n’avait pu être maîtrisé n’en isolant par barrages taut le quartier de Prodellas—Sud, opération terminée on janvier 1 gd8. En février, on sreva les barrages pour les reporter aux abords immédiats des travaux du bute 1 3 afin de permettre la reprise de l‘exploi- tation des bus-es 111 et 15. Le 1b mai, un nouveau feu se déclara dans une remonta en couche-Minette du buts 1s qui fut immè. diatemcut isolé par barrages et emballage. En septembre, l’ex- du bure tâ put être reprise ct poursuivie sans inci- provoqué surveillance. Hautæloin. _ Un fou loge. rapidement. maîtrisé dans un quartier en de dépi— d’une seconde tentative, ramener du châssis cours s tues et 1 blessé; la seconde partis par la voie à ôoo et remontant la taille où des tissus et des tuyaux de caoutchouc au Puits Vulllem'n 1 10 gnome: ": 23 ' ' ‘ ' ' tues. brûlaient, n’y trouva personne. .IL no mètres du pied de taille, la lampe de l‘ingénieur indiquant 1,5 p. ruu, il donna l‘ordre de retraite. A peine son équipe étaitælic rodcscondue, qu’une on difficultés d’exploitation rencontrées dans la avait décidé de repartir une vingtaine de mètres flambée de eu normalamcnl être faits au poste de nuit, mais rarement; on terminait souvent le tir ou . Quelques jours avant l‘accident, taille avait ronccmn’: une faille pres le pendage de la veine n’étant que d’environ 1 La baveuse m. 10 produisait une y parvenait poste du matin. la partie supérieure de la ue on parallèle au montage; 8 à 10°, le rejet total sorte de cloche assez longue. e pouvant dès lors plus monter jusqu’au sammet de la taillç, on devait sur une dizaine de mètres tirer sans baver; cette partis avait pris un retard de l‘Ordre de 1 m. 60. En même temps, le montage était poussé de 57a vch 5510 et s’était ne montré dePLUS quelque temps très grisouteux, de sorte que le tir y avait été interdit, ce qui retardaitle percement. Il était donc aéré par un ventilateur auxiliaire, tandis que le circuit primaire de la. taille continuait “a emprunter la voie intermédiaire à 5 go et le châssis d’aérage. Le sommet de la taille présentait, tant par le rejet descendant de la faille que par le rodent dû au retard, une double difficulté d’aérage. D‘autre part, après chaque tir, la taille était normale- ment obstruce par le charbon abattu et le courant d‘air était soit étranglé,soit dévié dans l‘arrière taille; aussi observait-on, depu1s quelques jours et. par moments, du grisou dans le voisi- de la faille. Une düse, c’est-à-dirc un élément de nanar nagc muru d’un éjoctsnr, avait été installée; lorsqu‘elle soufilait dans le rodent, on n’y voyait plus de grîsou, mais encore fallait-il que la taille débarrassée du charbon abattu, faute de quoi la lot düse aurart puisé de l’air chargé de grisou par son passage dans l’arrière taille. Les ingénieurs avaient décidé de visiter les lieux dans la mati- née du samedi 10 janvicr afin d’étudier sur place les mesures à prendre. Par suite du manque de temps, il restait à la fin du poste de nuit précédent, 25 mètres de front havés ct forés à la partie supérieure de la taille. Le chef de taillc trouvant à l‘arrivée du poste du matin du grisou vers la faille et la düsc arrêtée, fit rehrançher celle-ci et prévint le boutefcu qu‘on ne tirerait pas. Le porlon constatant peu après du grisou une uinsainc jusqu‘à de mètres au-dessons de la faille, donna à. cc l’ordre de ne pas tirer tant que l’atmosphère ne serait pas propre. C‘est alors ’une berline pleine déraillant près du point de chargement ans la voie de fond à fioo, le chargeur fema, pour arrêter les couloirs, la vanne de I‘uni ue canalisation d’air compnmé cc qui entraîna l’arrêt “immédiat e la dûse. Personne ne se souvint avoir depuis rouvert cette vanne. Pendant ce temps le boutefsu chargeait les coups de mine tandis que son aide» les connexions; suivant leur habitude singulière, ils utrbsèrent, pour forme: le circuit de tir, la tuyauterie d‘air com- anné et la ligue de couloirs. Tandis que l’aide avaitvu le boutefeu verdier l‘atmosphère avant le chargement, personne ne le vit à la recherche du grîsou avant lc tir. Certains ouvriers à évacuer le chaoticr lui unités 11 rappelèrent l‘interdiction de ttl‘eI'À, n'en tourna pas moins la poignée de l‘explosenr; la volée partit et fut immédiatement entendue, suiviedel’uniqae explosion puis d‘une grande flamme. L'os deuxlingénieurs qui projetée, se préparaient à efl'sotuar la visite “Prll‘eîli. aussitôt chacun la direction d‘une équipe de reconnaissance; la première passant par la voie de tète à 5:30, Motos. —— Statistiques. — :gàS. —-— .T. P. {337268. produisait mélange à teneur explosive. Cet accident confirme l‘importance d’un circuit d‘aéragc largement ouvert et la nécessité de surveiller tous les points singuliers qu‘il peut présenter. tels que culbutes, rejets, redents, un . soit donc tous les endroits où du tention est attirée grisou peut s‘accumuler; l‘ot- l‘obstruction du courant d’air par les produits abattus; on doit à tout prix éviter que les moyens d‘assainissement. soient, même temporairement, mis en défaut. Aucun explosif ne donnant une garantie absolus de non inflam- mêmaqboutefcu procéder sa . - établissait grisou bousculant. tous les hommes dont certains furent blessés ou brûlés. Les sauveteurs, munis d'appareils respiratoires, arrivant parla voie do fond à 600 nc purent pénétrer dans la taille qui était on fou, mais ils purent ramener 5 tués du montage. Le houtclou, les s ouvriers du front du montage et s ouvriers de la voie intermédiaire äço restaient disparus._0n devait bientôt perdre tout espoir de les retrouver vivants. tors 1 8 heures on dut se résigner à fermer 1c quartier. Un barrage d’entrée fut commencé sur la vois de [and à ôoo cl terminé les jours suivants; un barrage du sort 1c fut alors Établi et le quartier était complètement isolé le. 15 janvier. Les diverses enquêtes n'ayant pu procéder à aucune- constats- ticn matérielle sur les lieux mêmes n‘ont pu établir les faits. qu‘a l‘aide de nombreux témoignages recueillis et souvent divergents; elles sont souvent arrivées à la conclusion que l‘accident a été du àl‘inilammation d’une accumulation préexistante d‘air grisoutcux; un souiflard a peut-être été dégagé par le tir, mais il n’auraitcn tous cas pu donner instantanément à lui seul une quantité de grisou sulfisantc. Quant au modè d’inflammation, il doit néces— sairement être rattaché au tir car l‘ouvrier qui était le plus près du boutefcu l’a distinctement vu manœuvrer i’cxploseur. Les mines étaient chargées à la grisoudynamitc chlorurée n“ !. et le trou le plus près de la faille n‘en était éloigné que de 7 mètres alors que lo potion avait, peu de temps avant le tir, constaté que la nappe grisoutcuse s‘étendait jusqu‘à 1o ou 15 mètres; dans ces conditions le massif a pu s‘ouvrir dans le mélange inflarmuable car on doit reconnaître que dans m'a-tains cas la détonation dos explosifs, même s’ils sontd‘uu type agréé, peut enflammer les mélanges grisoutcux. D’autre pari les con- tacts des connexions irrégulièrement réalisées étaient probable- ment mauvais : on a pu reproduire dans ces mêmes conditions des étincelles qui allumèrcrrt facilement (les mélangps grisouteux; or, l‘extrémité amont de la tuyauterie pouvait être plongée dans ploitéc par loudroyagc, clic avait au début do janvier rgûâ une longueur de 80 mètres environ; lc havagc et le tir devaient — Un commencement do feu s’étant déclaré le s o jtun uinsaine de mètres dans une ancienne cheminée en sur une ber-dure ’un pilier abandonné, a été rapidement maîtrisé par arrosage et défournement. Dans le quartier 3 bis, l‘embouage d’un fou survenu en 1:93 t s’est pourvulvi toute l"snnée. carsou. montage à partir duquel on ouvrirait une nouvelle montage, parti de l‘étage 600. perçant fin novembre t dans une, voie intermédiaire à d'où l‘aérage pouvait gâq 570, se faire par un châssis jusqu’à 5240, la nouvelle taille envisagés put être ouverte; mais la voie de fond. changeant do direction par suite d’un gisement on croupe, la taille reçut une orientation perpendiculaire, soit doucà environ 1&5“ sur lc montage. Ex- Un seul échauffement s’est produit en bordure Gordonm. d‘un ancien pilier aband armé; il a pu être rapidement détourné. — DE A la suite du Bassin de Prouenco. uis le feu de mars 195:7, des barrages en Dc Gréasgue. tous les trois chanticrs. sèches,édi.lés systématiquement pian-es suivent régulièrement les fronts (rabotage. Cotte méthode d’iso- lement semble donner d'excellents résultats. liant-ion lcu de .36 Nord est toujours actif; après avoir été circonscrit pur une .prc- mièrr: ligne de barrages à roximité Jmmédzatc de ses divers foyers, cc feu a été entouré ‘une seconde ligne de ltfi barrages à la modifi- pour écarter le risque de coups do toit consécutifs cation de l‘équilibre résultant de l’affaiblissement des piliers soumis à l‘action du feu. Patits—Bcsælle, de bkspps' 53:1 octobre. ploitation cent. mors. Cet {recette et INFLAMMA nous lino failli: en lin de panneau s‘était. (annulée ct avait été arrêtée {in sept-ambre l. 9&8; clic n’avait pu être remblayéc à causa des le» feu se manifesol début dïoctobre. Dès que grèvcsdu paruune odeur cuactéristiquc, ou procéda ou remblayage hydraulique jusqu‘au 3 novembre. Maya-mil. flassin de la Loirc. Dans vaoupe de Sono en — Uns odeur de» bois brûlé ayant été décelée au clicbage du puits de. retour d‘air, des rocher-cites aussitôt entreprises permi- rent de découvrir un incendie sous les tôles du platelage dans des poussières mélangées à des morceaux de bois ct des parcelles d’étonpc, ct de l‘éteindre facilement par arrosage. Il peut être attribué soit à. une oxydation lente, soit à une cigarette allumée, tombée dans l‘interstice de deux tôles. figurés-cet. incident, le platelage fut complètement démonté, les amas charbonneux enlevés. et un bourrage d’argile fut. tassé enm les longerons de n‘a pas en de consé- il bcuros, quelques àyant queuœs graves quoique les fumées soient descendons dans le ou béton a été étanclzc Une d‘air. l d‘entrée séparation puits ensuite construite entre le puitsl et le magasin. été maîtrisé (2l) ppt, déroge sur mation de mélange grîsoateux, seule la visita réglementaire minutieusement ell'ectués par le boutefeu immédiateman avant le tir peut assurer la sécurité. Un contrôle de l‘atmosphère avant le présente l‘intérêt d’éviter l’obligation éventuelle d’aban onner ensuite des coups de mine chargés ou la tentation de les tirer quand même; mais ce contrôle toujours utile ne sau— rait que précéder la visite réglementaire immédiatement avant le tir, en aucun cas dispenser de celle-ci. D’autre port, les lignes de tir doivent être soigneusement établies conl'mmémcnt aux prescriptions réglementaires. D’une manière plus générale, les boutelcux ont, en matière de sécurité, un raie tellement important. à jouer qu‘on ne saurait trop insister sur le soin à apporter à leur choir et leur instruction profes- sionnelle= de telle sorte qu‘on puisse compter sur aux, sinon aucune sécurité ne pourrait être assurée. chargement ' ' I ' Mime de Brossac, 27 æptembru : 1 tué. Dans la nuit du dimanche au lundi, un boutcfeu procédant à la. reconnaissance de tirs d‘ébranlement tirés (lu est jour mortellement brûlé par unc inflammation de grisou. Les mines chargées au front d’un avancement avaient donné lieu à un raté total, mais l’aéragc secondaire avait été arrêté pendant tout le dimanche. La couse de l’inflammation réside probablement dans CL