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De Transcription | Bibliothèque patrimoniale numérique Mines ParisTech
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| 156 | succincte ; à un arbre vertical est fixé un tambour ou cylindre sur lequel le cable ou la chaine qui fait monter les seaux s'enveloppe comme fu le treuil dont on a parlé. Des bras de levier aussi fixés au même arbre, servent à y attacher les chevaux qui marchand circulairement autour d'un manege, font tourner le cylindre vertical et en même temps monter l'un des seaux, tandis que l'autre descends. Le dessin que je donne planche [illisible] de ma marchine à coûer tronqués (rendüe publique) dans nos voyages metallurgiques et encore plus détaillé ici) donnera une idée suffisante des machines à tambour. | Il faut avoir des données pour faire construire une machine quelconque pour un Baritel on doit faire attention à la quanté de matières qu'on a à enlever par jour, afin de connaître, par le calcul, les proportions qu'on doit lui donner, et le nombre des chevaux à y employer. Avant d'entrer dans de plus grands détails, il est à propos de donner l'explication du Barritel à coûer tronqués planche 6. | A est l'arbre vertical, voyés figure 1ere, B le pivot sur lequel il tourne dans sa crapaudine enchassée dans une grande pierre, où si le terrein n'est pas solide, dans un fort grillage de bois, comme ce pivot s'use et qu'il en dificile de le degager de l'arbre, quand il est d'une seule pièce [illisible] on doit | | Ecole des mines de Paris | Bibliothèque