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[| 154 remarqué cet usage établi aux mines du Freyberg ; il parait, parce que M Trebra raporte [illisible] cet objet, que les Saxons n'ont pas perfectionner ce genre de travail depuis une trentaine d'année. | Pour prover l'avantage que le Baritel à chevaux, ou machine à moletter, a sur les treuil à bras d'honneur, M de Trebra fait un calcul, par lequel il demontre que l'extraction faite de la profondeur de sa toises par six hommes apliquer à trois treuils ou tourniquer n'est à l'éxtraction faite par ce baritel que comme en est à deux et demi et que le benefice dans les frais est de deux Rixdalers et trois gros sur chaque travail de huit heures. | M de Trebra raporte qu'un Baritel à chevaux a coûté de construction 2827 rixdalers faisant plus de dix mille livres argent de France. Cette somme parait trop forte pour une machine de cette éspece, le même auteur expose ensuite page (216) qu'un Baritel à eau ne coûte de construction que 1147 Rixdallers 17 gros. ce qui ferait 1680 Rixdalers de moins que pour le Baritel à chevaux, il faut qu'il y ait de l'erreur, car ce dernier doit infiniment moins couter que le premier qui éxige une rouë double pour reçevoir l'eau | | Ecole des Mines de Paris | Bibliothèque