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De Transcription | Bibliothèque patrimoniale numérique Mines ParisTech
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230 le remarquer dans certaines mines, l'on conçoit que si dans ce cas, chaque coup de piston fait dégorger dans le premier bassin de la pompe du fond, quatre pieds cubes d'eau, tandis que celle qui doit prendre cette eau ne peut en élever que trois pieds, il y en aura un pied qui retombera par dessus les bord du bassin au fond du puizard. Les bassins des pompes qui reçoivent les eaux des galeries et ouvrages superieurs doivent plus grands que l'orsqu'ils ne reçoivent que l'eau pomper inferieures ; il est necessaire qu'ils ayent assés de profondeur pour que la partie inferieure des tuyaux d'aspiration soit suffisamment [illisible] dans l'eau, sans quoi il s'introduit beaucoup [illisible] alors la pompe fait un bruit assés considerable qu'on appelle ronflement. Dans ce cas le piston ne fait sortir que peu d'eau. Quand une pompe a cessé d'agir et qu'il n'y a plus d'eau dedans, on est souvent forcé d'y verser quelques seaux d'eaux pour la partie superieure, cette eau presse sur le piston en humecte le cuir et empêche l'air de s'introduire en dessous qui sans cela s'opposerait à l'ascension de l'eau dans le tuyau d'aspiration. Tout mécanicien sait que la [illisible] qu'eprouve une machine hydraulique est rélative au diametre des cylindres des pompes, et non à celui

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