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283 trois mille pieds cubes d'air par minutte en donnant seulement quinze coups de piston. Les deux cylindres régulateurs portent des tubulures auxquelles on a adapté des tuyaux de conduite par ou l'air se rend aux tuyerer des deux hauts fourneaux situés dans les halles laterales. Une seconde machine soufflante est établie dans l'une des forges Xe on compte que trois de ces machines fournirons tous l'air nécessaire au soufflage de 4 hauts fourneaux et de seize affineries de forge. L'affinage du fer exigeant que le souffle sout glacé on y parvient dans les forges ordinaires par le möeu d'une pelle on avance que l'on monte vue que l'on baisse pour donner plus ou moins d'eau à la roue motrice des soufflets. La pompe à feu soufflante remplit cet objet par un robinet placé sur le tuyau de conduite d'air que l'on ouvre plus ou moins suivant le besoin servant qu'à l'affinerie. La machine à feu qui fait mouvoir les gros marteaux de forge, n'est composée que du cilindre à vapeur et de sa chaudiere mais à l'extremité du balancier, opposée à celle du cylindre, il y a un tirant de fer fort pesant qui tient le bouton de