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Annales des Mines (1818, série 1, volume 3)

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température augmente d'environ un degré de Réaumur pour 15o pieds de profondeur
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(42,016); d'où il résulterait qu'a la profondeur de 1,196,250 pieds, le fer entrerait en fusion, et ce point serait encore bien éloigné du centre de la terre.
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On a fait une foule d'expériences avec des thermomètres portés à la main dans d'autres mines des districts de Freyberg, d' Altenberg, de Schneeherg, et même en Hongrie; mais quoique ces expériences ne puissent pas mériter la même confiance que celles faites avec des thermomètres à demeure fixe dans les mines, aucune n'en a cependant contredit le résultat que j'ai obtenu.
  
SUR LA TEMPiRATURE
 
  
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MEMOIRE
 
 
température augmente d'environ un degré de
 
 
 
MÉMOIRE
 
 
 
Réaumur pour i5o pieds de profondeur
 
( 4am.,o16); d'où il résulterait qu'a la profondeur de 1,196,250 pieds, le fer entrerait en.
 
fusion, et ce point serait encore bien éloigné
 
du centre de la terre.
 
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thermomètres portés à la main dans d'autres
 
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de Schneeherg, et même en Hongrie; mais
 
 
 
quoique ces expériences ne puissent pas mériter la même confiance que celles faites avec
 
des thermomètres à demeure fixe dans les mines,
 
aucune n'en a cependant contredit le résultat
 
 
 
que j'ai obtenu.
 
  
 
Sur les alliages de cuivre et de zinc, par
 
Sur les alliages de cuivre et de zinc, par
M. le docteur COOPER, profè sseur de chimie et de nzine'ralogie à Philadelphie.
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M. le docteur COOPER, professeur de chimie et de minéralogie à Philadelphie.
 
(Emporium of Arts and Sciences. vol. III,
 
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EXTRAIT ACCOMPAGNE de NOTES (1)
  
PAR M. P.
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Par M.P. BERTHIER , Ingénieur au Corps royal des Mines.
 
 
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des Mines.
 
 
 
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Les principaux alliages du cuivre et du zinc sont, 1° le laiton ou cuivre jaune; 2° le métal
 
du Prince, préparé pour la première fois, en
 
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1682, par le prince Robert; 3°. le pinchbeck;
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4°. l'or de IVIanheim ou similor; 5° le tombac,etc.
4°. l'or de IVIanheim ou similor; 50.1e tombac,
 
 
 
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M. Cooper en a puisé les matériaux dans les ouvrages anglais de Aikin et de Watson, qui eux-mêmes ont rassemblé tout ce qu'ils ont pu trouver sur cette matière. M Keating,
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jeune américain, qui suit les cours de l'école en qualité d'élève externe, a eu la complaisance de le traduire. On a pensé
M. Cooper en a puisé les matériaux dans les
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On trouvera dans les Arts et Métiers de l'Académie dans le Traité de la fonte des mines de Gensanne et dans l'EncycIopédie.par ordre de matières, une description complète et très exacte du procédé qu'on suit le plus généralement
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pour fabriquer du laiton, et dans les Voyages métallurgiques de Jars et Duhamel (vol. III, pag. 71 à 212), des notices fort intéressantes sur les diverses méthodes qui étaient usitées de leur temps dans les principales contrées de l'Europe. Nous
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pour
 
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nos lecteurs à consulter ces excellons ouvrages. engageong
 
  
Tome III are. livr.
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Tome III, 1 livr.

Révision de 13 juin 2024 21:53:20

température augmente d'environ un degré de Réaumur pour 15o pieds de profondeur (42,016); d'où il résulterait qu'a la profondeur de 1,196,250 pieds, le fer entrerait en fusion, et ce point serait encore bien éloigné du centre de la terre. On a fait une foule d'expériences avec des thermomètres portés à la main dans d'autres mines des districts de Freyberg, d' Altenberg, de Schneeherg, et même en Hongrie; mais quoique ces expériences ne puissent pas mériter la même confiance que celles faites avec des thermomètres à demeure fixe dans les mines, aucune n'en a cependant contredit le résultat que j'ai obtenu.


MEMOIRE

Sur les alliages de cuivre et de zinc, par M. le docteur COOPER, professeur de chimie et de minéralogie à Philadelphie. (Emporium of Arts and Sciences. vol. III, 2e. série.)

EXTRAIT ACCOMPAGNE de NOTES (1)

Par M.P. BERTHIER , Ingénieur au Corps royal des Mines.

(Principaux alliages de cuive et de zinc) Les principaux alliages du cuivre et du zinc sont, 1° le laiton ou cuivre jaune; 2° le métal du Prince, préparé pour la première fois, en 1682, par le prince Robert; 3° le pinchbeck; 4°. l'or de IVIanheim ou similor; 5° le tombac,etc.

(1) Ce mémoire est un abrégé de tout ce qui a été publié de plus important sur le laiton dans ces derniers temps. M. Cooper en a puisé les matériaux dans les ouvrages anglais de Aikin et de Watson, qui eux-mêmes ont rassemblé tout ce qu'ils ont pu trouver sur cette matière. M Keating, jeune américain, qui suit les cours de l'école en qualité d'élève externe, a eu la complaisance de le traduire. On a pensé que dans un moment où nos fabricans de laiton, privés de la calamine que leur fournissait la Belgique, sont obligés de modifier leurs anciens procédés, et cherchent à les perfectionner, il pourrait être utile d'insérer le présent extrait dans ce recueil. On trouvera dans les Arts et Métiers de l'Académie dans le Traité de la fonte des mines de Gensanne et dans l'EncycIopédie.par ordre de matières, une description complète et très exacte du procédé qu'on suit le plus généralement pour fabriquer du laiton, et dans les Voyages métallurgiques de Jars et Duhamel (vol. III, pag. 71 à 212), des notices fort intéressantes sur les diverses méthodes qui étaient usitées de leur temps dans les principales contrées de l'Europe. Nous engageons nos lecteurs à consulter ces excellens ouvrages.

Tome III, 1 livr.