Lettre sur une séance de l’Académie concernant l’île de Ténériffe. Discussion des mérites de MM Buch et Berthollet ; brouillon
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| − | 10/ hautes montagnes des îles adjacentes, mais on voit aussi les forêts de | + | 10/ |
| − | Mr Cordier dans la relation de l'ascension qu'il a faite sur le pic de Ténériffe le 17 avril 1803 dit (j. de physique T LVII p.58. 1803) une trace | + | |
| + | hautes montagnes des îles adjacentes, mais on voit aussi les forêts de Ténériffe et la partie habitée des côtes [mots barrés : dans une proximité propre à produire les plus beaux contrastes de forme et de couleur]. On dirait que le volcan écrase de sa masse la petite île qui lui sert de base. Il s'élance du sein des eaux à une hauteur trois fois plus grande que celle à laquelle se trouvent suspendus les nuages en été [mots barrés : et plus loin (???)] nous découvrîmes à nos pieds Palma, La Gomere et la Grande Canarie". | ||
| + | Mr Cordier dans la relation de l'ascension qu'il a faite sur le pic de Ténériffe le 17 avril 1803 dit (j. de physique T LVII p.58. 1803) "une trace | ||
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hautes montagnes des îles adjacentes, mais on voit aussi les forêts de Ténériffe et la partie habitée des côtes [mots barrés : dans une proximité propre à produire les plus beaux contrastes de forme et de couleur]. On dirait que le volcan écrase de sa masse la petite île qui lui sert de base. Il s'élance du sein des eaux à une hauteur trois fois plus grande que celle à laquelle se trouvent suspendus les nuages en été [mots barrés : et plus loin (???)] nous découvrîmes à nos pieds Palma, La Gomere et la Grande Canarie". Mr Cordier dans la relation de l'ascension qu'il a faite sur le pic de Ténériffe le 17 avril 1803 dit (j. de physique T LVII p.58. 1803) "une trace