Annales des Mines (1849, série 4, volume 16)
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NOTES.
.11eigle C sera égal à (y ± 71) , et la différence de valeur et) selon entre l'angle C et le coté opposé sera égale à (
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que le pied A de la perpendiculaire tombera en dedans ou en dehors du triangle. Soit à cette différence,
MÉMOIRE
à=
sin C coss (7
Sur les mines et les minières de fer de la partie occidentale du département de la Moselle. Par M. EUGÊNE JACQUOT, ingénieur des'mines.
La valeur maximum de à est donc
à
=i2
2.
2 (470)
Id lai; ids lies st ra re de nu dr iesr.
2'Ze
Si, par exemple, 2,ar
La partie des arrondissements de Briey et de Développement Thionville, comprise entre la route de Metz à et importance de Luxembourg et celle de Metz à Montmédy par seetments de Briey
400' 2,Zir
X 476.0= 476
= ûv.'Cl°785.
Longuyon , renferme un groupe de forges qui en fait une des contrées les plus industrielles de la
France et une des plus dignes d'intérêt pour le mineur et le métallurgiste. L'industrie du fer y est fort ancienne ; déjà à la fin du XVI' siècle quelques-unes des usines actuelles, notamment celles de Moyeuvre, d'Ottange et de Villerupt, étaient en pleine activité. Il y a cinquante ans, le groupe de forges dont il s'agit comptait 9 hauts-fourneaux au bois répartis de la manière suivante: 2 à Moyeuvre, à Hayange, i dans chacune des usines d'Ottange, de Villerupt, d'FIerserange, du Dorlon et de Longuyon. Jusqu'à la fin de l'année 1845, l'accroissement de la production de la fonte dans ce groupe n'avait pas dépassé la progression ascendante signalée dans l'ensemble des établissements métallurgiques de la France. A cette époque il comprenait 19 hauts-fourneaux, dont 4 au coke et 15 au charbon de bois. Mais dans le courant de l'année
i846, sous l'influence du haut prix auquel les fontes sont parvenues, les moyens de production ont été augmentés dans une proportion considérable. Il existe aujourd'hui, dans la partie Nord-
de Thionville.