Révisions de la page | Historique de transcription | Annales des Mines (1850, série 4, volume 18)

Annales des Mines (1850, série 4, volume 18)

Page : Image 17

Révision de 5 févr. 2015 07:49:54, edited by Anonymes

u04.04.#Reiprinpiry,eLomB

ENOCONTAbleiffla' `te BOIS.

ensAn'ilipapilbraiç convirabkeerriployer ileMr `AMitn

9fff9.111

Le' renouvellement facile -de rdirlauxusurfaces d ontact entrele bois et le plomb sera probable-

-lie, ment un ifee.14)eurà.eloyens de préservai-

tJn courant crai.r constamment,entretenu doit -eirf' lever les vapeurs., acétiques etA'acide carbonique

produits par la putréfaction , au fur et à mesure _qu'ils se produisefiltetiem pêcher leur action sur piortill. Si, dause»grand nombreudeicireMstarieeS., le plomb en contact avec le bois n'a pas

été altéré, après plusieurs années de juxtii-position, 'paraît convenable de 1:attribuer à ce quel'iir ,pouvait se renouveler continuellement entrgoles surfaces de contact. .nq L'eau, en se renouvelant souvent aux surfaces ,

de contact entre le bois et le plomb , aurait pour effet d'enlever l'acide acétique et l'acétate de plomb qui se produiraient, et d'éliminer par conséquent l'agent le plus actif de l'altération du métal ; mais ce procédé serait complétement impraticable dans le cas dont il s'agit. Si les moyens qui viennent d'être indiqués ne suffisaient pas, on polluait essayer aussi des bois préparés par l'emploi des antiseptiques, à l'exception pourtant de ceux conservés par le pyrolignite de fer, qui produiraient sans doute une altération plus rapide que le bois à l'état naturel. En résumé L'altération des plombs des chéneaux du ministère de la guerre, est certainement due au contact des madriers en bois sur lesquels ils reposent puisqu'on a pu reproduire un mode d'altération identique par le contact de lames de plomb, avec de la sciure de bois humide. -1131

uctoT

e*33

iàissenI stiSe4 produire la même altération qïie

1970/fel

trés i eu

e.9quoique plus lentement:-

,

"i>j,511,3""'n

-91d,Leyrenouvel1ement facil UIii éritWIg Wrda. ces, da

e e udu métal éti'lébiltbcf"boti tVïtiftt -

.rte ment A'eau coritinu,énfierés' rnên' rfaces,

9 paraissent être lek,' rünyieWipréserVatifs les plits IO? 1-Toutes les causésieftfileoppciSei'ànt à là putré-

faction du boisauronvesSi,pour effet d'empêcher 2ifeltération du plombi;' ,a0Uparaît convenable d'essayer des chéneaux e'n izinc au contactedtif bois. Rien n'annonce que ce contact soiudeilature à provoquer l'oxydation ét la destruction du métal. -deesItua :WB if19,1i2i08 itudevuone;

&nef el 39 aiod el woci drnolq eb eisfe9d139 eripi19osehio. InsurY:YdnoD

ienitniiel 3e

euln el ane>_4firl einui ; isfem ub ermb cldciJwiqrrii inernefelque,,e_iiniu i,4eolq

if snob ?-fi3si

en Atipibni

91A% iniefin1iV inp:12

'àod aeb lama; 'i9V2?.-3

no ,veci moirw.ilhre

.9upilfratine eeb iolticael

"e,?.fifIci?rici

el 18q C9V198/I09 X093 91) infiiluJocI 00[3(193 500 9ii1Ob EifiliàJEICIrHUhO1q

,19/nicri

-im Ji)zuzerv7.-.)1.-b

etniuel sh noi1ciè3Idd sbetimoixi

4103 Us 911b If191:119015Ï190 if192,0C19,1

inp 041 91; efirilo-r

àod i .Wi`i 1iqsI eulq ,91191_Jsi 9b

li'19upe31 jo8iod ne eleilbten

nuiwieflra -Amr° nu eituboiqei iiq s no`kipàuq 39V5

,tfficiq chl9b aJL1oo el lei

18.590h.icntrd aiod eh elu iea

Tome Xr1II,

d eb 3