Annales des Mines (1850, série 4, volume 18)
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GISEMENT ET E)11.MuT,I;(3:«eell'°-t, gaa , `11=21t1 91) ?,99;21';'.1-1:4 19.5ff ,-minçrp.i y estgeneraiementlus-compacte et pas e,4*
notre visite:,,lidttfue riche.. Du reste à t epoqu 9u copnaissait le minerai, de Soulan quëftlèpuis et on avait à peiner fouillé très-lée-ânent lés upremiers dépôts. CepWctànt ol-i'eeiedéfà que la -Rlupart des poches n avaient pie-raii'de:lede'5?à -leitAtres de largeur et de profondeur, etlu'elles pffiospiyaient, comme à Germ, d'une manière_tres,e
4négale, de manière, .à>p.-,urer une série de beiyaux sinueux sillonnant iir'i'etgulièrementla surface du sCil.
eb.eilrie' el)
o. Une particularitépi-de ce gîte, c'est que l'on
roffle,,,-antnribeu niérne du minerai, de gros blocs
, de c,alea'ire, dur et eriStallin , à arêtes plus ou moins émousséés, et de teins pciinis`semblables.ûu
calcaire du terrain encaissant. Ces fragments, comme les roches formant les parois des ca-Vités, nesop,t p01,expent altérés au contact du minetiai, circonstance qûi se concevraiCdifficifeeentisPle rmanganèse était d'origine, ignee; tec}i§i qth_ -,Agt.irce minérale rend très-naturellement cdmpte 3bde,tous les phénomènes. On conçoit en effet que dans.,le ,long espace de temps pendant lequel le dépôt s'est opéré, la cavité devait insensiblement s'élargir sous l'influence corrodante del'eau minérale, et par suite, de temps à autre, déterminer la ftchute d'une partie des parois au milieu du dépôt en voie de formation. Remarquons, au reste, que les brèches à ciment de manganèse, danSiles amas (de G,erm, doivent provenir de la même cause, et -;;Lla.,se-ple différence, vient de la nature des roches junui , à Herrn , sont plutôt argilo-schisteuses, et à principalement calcaires.
...En résumé, d'après tout ce qui précède, il me
,,2rpgr,ag éyid,cque les minerais de manganèse dont nous venons-de parler sont le produit de sources
DES MINERAIS DK
MANGtAr4SE DES PYRÉNÉES. 77
bicarbominérales, principalernent chargéesside ce bicarbonateAe,rnanganèse..Pôtir constater très7séiuble, aussi bien queqe nateiesti en, effet dans une bouteille, bicarbonate de fer, j.- ai> avant de la remplir d'acide carbonique à la pressiodde 4 à 5 atmosphères dans une fabrique d'eau gazeuse, 2 à 3 gramme de-carbonate de mangaGerm. Au bout nèse porphyrisé de la munet e de dissoute, et de deux mois la majeure partie était l'ébullition, en opérait la l'ammoniaque, comme précipitation. de Quant à l'âge de ces, Minerais, il est difficile grig:iuisse desmmait le fixer on voit seulenient qu'ils sont postérieurs saurait, je Dan terrain de transition ; mais on ne de la zone malgré le parallélisme .rovois , affirmer, Mangatiésifère avec l'axe principal des Pyrénées, des consé,iq,u,e les sources à manganèse sont une soulèvement, et qu'elles ont coulé 97qugnces de ce sucenp lobpremiers temps de la période tertiaire. cette description, 91C1freaig4e14; pour terminer économiques sur la situaonguelque,srenseignements de Germ et de 9[ fion,. de ces minières. Les minières 1847 et, i848. intYÀelle ont été exploitées en 1846, iiCelles de Soulan , fouillées en 1847, n'avaient point. encore livré de manganèse à la préparation emmécanique, faute d'un chemin convenable. Le dans inerai marchand, livré par Germ et Vielle s'est élevé à io.85o gs.):Ieux années 1846 et 1847, Le prix de revient sur les o etnintàux métriques. embarriquage , est de 2',75 as dlionx,raprès lavage et Le transkilogrammes de minerai. 3 fr.par roo coûte 2%75, et:Celui port de la laverie à Toulouse donnélidiir'lejprix ,-pde Tgulouse à Paris 3 fr. ;'Ce qui compris leeffais ,iodu,- minerai à Paris, non 8',75. sont presque nuls'; .',)a-iliketrinwau_r,eiste, - d110119V ,
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