Annales des Mines (1850, série 4, volume 18)
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GIENIENT ET FORMATION
DES
tiellementlerrugineuse et. en partie aussi barytique. Très-près delà, à un kilomètre,àpen,près nislisi ib Me du bourg de Chaillae,au hameau de ftossignol, .81finollisoYlk; on voit, au milieu dueeiss , un filon très-puissant d'oxyde de fer avrle baryte sulfatée et spath Ut; erloileii9P.0
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fluor. C'est sans doute nu ides points d'émergence des sources en question. Cependant, dans cette période du grès, du lias, les sonrces minérales furent relativement encore faibles.
Dans la seconde pe,ri,odn,, celle duriias et des marnes suprabasiques , ou trouve partout des bancs composés de carbonates multiples plus ou moins marneux. Les sources étaient alors plus gé-
nérales et devaient spécialement être compos de bicarbonate de chaux , avec des proporti,ffl, -;elàtivernent plus faibles et variables selon ,Ies temps et les lieux, de bicarbonate de magnésie, 'de fer et de manganèse. Enfin ,dans la troisième période , celle qui, cor-respond au terrain à jaspes (oolite inférieure ),,les sources paraissent avoir atteint leur plus grandle énergie. La silice et l'acide carbonique seAlent s'être dégagés d'une manière très-abondapte,ear J , on trouve partout des jaspes et de l'hydrosil,icate 'd'alumine. A côté de ces sources, en quelque sorte -générales, ont paru, selon les lieux, des bicarbonates de fer et de manganèse, et plus rarement des bicarbonates de baryte, de plomb et 'de zinc; enfin , même dans certains points, de l'acide hyjeliofluosilicique En dernier lieu ont paru , à une --qàque sans doute assez rapprochée de la précé-aâte des sources sulfureuses qui ont transtbrmé 91-a' Earyte en sulfate, et une partie du plomb du zinc â du fer, en sulfures. vS,
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Oscillations du
à l'époque du "j'iodes 'S'ieffl'iiar un aMfà'Èeri-i 'éltuaseuns4o1 sol dépôt du terrain
ancien, et q0'éliacun de ces mouvàrn9lenïsmav'ent du Nontronais. correspondre de nouvelles fentes, jiarlenfe:sOnt échappées les sources eti-ëhlesquiparaisset'dvioir '-'été si abondantes 1ë16Wg des bords du plateau central. Le premier abaissement a permis abnx eaux de la mer de déposer directement té grèjdu lias sur le granite et le gneiss.
Les terrains de la seconde période, et surtout les marnes du lias, débordent ordinairement le g-grès et reposent assez souvent sur le granite ou le --gneiss; c'est au moins le cas dans tout le départe2Ment de la Vienne. Ainsi la période du lias proprernent dit s'ouvre aussi par un nouvel abaisse"ment.
Enfin les argiles à jaspes débordent partout le grès et les marnes. On les voit dans l'Indre ,
Vienne,Ja Charénte et la Dordogne, quoique fortement démantelées par les eaux de la période .eëertiaire, recouvrir encore les plateaux anciens lien au delà des limites du calcaire à bélemnites, suit de là que l'origine de la troisième période surtout marquée par un fort abaissement du
ui a ouvert des issues aux sources nombreuses dont nous venons de faire connaître lés 'produits. P'..A partir de ce moment, un mouvement inverse -Se fait sentir. Le sol secondaire est relevé; la mer 'Skir;"
se retire; les étages jurassiques, moyen et sirieur, se déposent presque partout à une asqz grande distance du plateau central, et ce rqMe mouvement ascensionnel se continue pendaùf.la JU DIMS longue période crétacée. Tome XVIII , 1850.