Annales des Mines (1850, série 4, volume 18)
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des ,ilegherches .dans là rivière, dans le sable et 91CUlf; aux en:.:VironS,'nuiis sa,ns tesultat .
Un habitantde 4p.Pc:f4iirCe de Barciuisrneto , , 10 t; au Vénézuela, le docteur eedro l'ildnasierio, qui
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Il y à peu e temps que
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s'était rendu .à Upata , y a consacré plusieurs mois
du gouvernement ee Vene uela afidd'obtenir privilége pour l'ex pfditatied'une mine d'or qui:'
explore,r1es environs de l'Irurnary et à rechercher Ifs lieux qui renfermet4- de l'or ; ses investi-
quelle se trouve unWi-iiisiiihud'Indiens, établie par les jésuites au lieu dit la Pastora. Le chemin qui y conduit part du port de las: Tablas , situé sur l'Orénoque, à l'endroit où le' 'Ciiroui se jette dans ce fleuve et dix-huit'lieueS de la Angostura ; la distance de ce port à liiPas tora est de trois journées de marche , chemin frayé- de la Pastora à la mine d'or, on emploie une journée et demie, quoique la distance soit pe tite; mais là le chemin n'est pas encoreqôrmé-; La distance de Puerto de Tablas à Uptita'ât de>
la finesse de l'or qu'on en retire est telle, que des
gations ont été couronnéesAe succès; la mine qu'on a commencé à exploiter est abondante, et
existe au canton de Upata, dans la province Guyana , au pied d'une montagne près de la-
gens de l'art l'évaluent à 23 et 24 carats : on a
vendu cet or à 22 piastres du Venezuela, ou 95 fr. l'once; mais ce prix ne peut se maintenir. En quel-
ques joins seulement, pendant le mois de mars
,
47 milles , de là au village de Tupuquen I2o et pour se rendre au lieu de l'exploitation 25 milles,-
mesure anglaise. La mine est sur la rivièreYurine qui prend sa source à l'Ouest de la rivière Cuyuni (ou Yurnary) , et va se jeter dans celle-ci, à peii de distance d'un lieu nommé Cura , à partir du-; quel elle est navigable. La rivière Cuyuni, qui est considérable dans un parcours de i 8o lieues, dé-
verse elle-même ses eaux dans la rivière Essequebo, à peu de distance de la mer. Trois éminences voisines se présentent au lieu
où est la ruine : c'est au pied de celle du milieu
que d'abord l'on avait trouvé des pierres qui, fendues, laissaient l'or par filets d'une ligne d'épaisseur et qtielquefois plus; on avait fait'alors
dernier, le docteur Monasterio et ceux qui faccom, pagnaien en ont retiré retre pour plus de 3.000 piastres; mais limperfeetion du travail et l'insubordination des ouvriers Ont déterminé à suspendre les recherl=
ches avec l'intention de les reprendre plus tard qic-t.pysitIl.ile méthode plus régulière et plus éçono-
rwqp,e,tre celle suivie d'abord. Il parait qu'au lieu péCinpe,4 laver le sable, les journaliers chergefr- ent les /nains d'or gros comme des leRitillehi,mvv-iême comme du caf. (il y en a eu pes- ien. lus (l'une demi-once). Ces Ouvriers
san qxamen, jetaient le sable, avec for nids
'visé qu
contenait, dans l'eau de la rivière, laient ainsi au point qu'on ne pouvait
pl'ieçl],..stinguer le sédiment à laver.
Le' docteur. Monasterio a rappgiU9P>us de ,(;iiEnaces de poudre d'or et 20 onces d'or en grains
ter-y-ler:ses grosseurs ; mais ne se croyant pas en
ste dans7.9Uces solitudes et n ayant avec lui que '4u-ic , environné de -laboureurs in , L 30compagnons , . hfâfti e,grie,li(peon), qui ne lui ,1 spire:mi% Fr9sAeaçicmici