Annales des Mines (1850, série 4, volume 18)
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utria ge, est encore env,oeé-;:lhuMetifift-xrrkiper4ipap -
Bvré est conduit au boCard den, baptgAndmairsie
à sec, en cherchant à éviter la produgti99,049s schlamms. Le minerai bocardé tomle,snmeappareil de classement qui le divise Wgrosseurs différentes, et sépare les sables et les 84a:tutus. Orrlave sur des cribles les grenailles et:les sables ...séparés par un débourbage,,provenant
- les sables fins et les schlamms sont traités
esnr des tables dormantes. Le lavage aux cribles donne encore du minerai .:.vinassif.envoyé à l'usine, et du minerai pauvre qui passe. au bocard d'en bas. Les produits du bocartdage sont séparés de même par un appareil de
classement, et lavés sur des cribles ou sur des tables dormantes. Dans ce mode de préparation, on sépare, dans les minerais des mines et clans les produits succes-
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sifs, tout ce qui paraît contenir plus de 20 à 25 p. 100 de galène. Ce massif est soumis à l'usine à une préparation mécanique spéciale, dans ,laquelle, opérant sur une moins grande quantité de matières, on peut prendre les précautions nécesu saires pour éviter toutes les pertes. Dans les ateliers de Rosier, on soumet les,minerais pauvres à des bocarclages et à des criblages
successifs, afin de rendre aussi faible que possible la proportion des schlamms , lesquels donnent toujours une perte notable en argent (i). Par.
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des appareils de classement et de débourbage, on sépare les matières en classes de grosseurs diffé(i) Cette perte d'argent par les scldamms a été bien constatée à Pontgibaud, 'et longtemps auparavant dans plusieurelaveries d'Allemagne.
ET --USIetS DE- 'PONTGIDADD.
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de laver sur _les cribles ou igletfiblesiqti4 dbilniatières à peu près de même
- rossédiiPhour njire
-1La-'disposition des -bâtiments en étages succesWS 'pour but et i)citir effet d'éviter la maind'oeuvre des transports. 39.ktes minerais, arrivant des mines à la partie iilpérieure, descendent constamment dans les opé4ations successives, et sortent à l'état de massif, stérile, sehlich , schlamms ou boues stériles qui se l'éerelit'dans des bassins de dépôt. T feeette disposition économique, on peut faire, 'Une objection assez grave. La surveillance est trèsdifficile dans des bâtiments aussi nombreux et Aôrnplétement séparés les uns des autres. Nous allons maintenant décrire les opérations successives. Nous reviendrons ensuite sur les dimensions des principaux appareils , les quantités de matières élaborées et d'eau nécessaire au lavage. Les minerais arrivent, par chemin de fer, dans Arrivée des waggons contenant 1/2 mètre cube ; ce qui des minerais. répond à un peu plus de r/4 mètre cube de roche Cassage. abattue. Les menus et fragments de toute grosseur sont mélangés, et, de plus, trop sales pour qu'on puisse les trier immédiatement. On se contente de séparer les gros fragments , de les casser au mar-
teau et: de les trier. Cette première opération
donne du minerai massif, une très-petite quantité stérile et des matières pauvres, lesquelles passent au débourbage. Les minerais (des mines et du premier triage) sont jetés sur une grille en fer présente des ouvertures de orn,o8 de côté, et sur laquelle arrive un courant d'eau continu. Les morceaux, trop gros pour passer à travers
Débourbage.