Annales des Mines (1850, série 4, volume 18)
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RAORT vailler aux mines. -Je regarde eette somme-.£omme
équivalente au produit de la journéeAle.,travail d'un mineur. Cette taxe sur 5o.00ck4Iiineurs, nombre probable de l'automne prochain,--:produirait 4.000.000 fr., et commece nombre sera doublé
en 1851, le produit s'accroîtrait dans la même proportion, indépendamment de ce-que 'doivent produire les filons que l'on découvrira, la vente des lots des villes et des chariips, et- celle des bois de construction, qui accroîtront considérablement ce revenu. Les sommes provenant de ces diverses sources
devraient être employées à la construction-desi routes et des ponts, afin de façiliterles communi4 cations dans le district des mines, ce qui tendraitl à y diminuer le prix de tous les objets de cori+,,, sommation , et dédommagerait les mineurs de .W
taxe acquittée par eux. Comme elle tourneraita dès lors à leur profit, ils s'empresseraient de la payer. Une certaine somme devrait d'ailleurs être mise, en réserve chaque année, et affectée à la créatici`iid d'un-fonds destiné à l'établissement et à l'entretierre des écoles publiques et même d'une Université. Je regarde io.000.000 francs comme le revenu
probable de la région des mines 'en 185:1.-Cettej, somme berait ainsi répartie : 10 payement de l'in+ térêt dû au Mexique; 20 affectationlie5Oc1;borri fr. au fond des écoles publiques et del'Universitévi 30 réserve de 5oo.000 fr. pour amortissement del la dette envers le Mexique ; et 4° construction desT, routes et des ponts et frais divers d'administration, des commissaires et sous-commissaires, 'dont il conviendrait peut-être que les ,émoluments.fustx.9 sent basés sur les permis qullsidélivrerout.get.i.Smo`i
SUR LA. CALIFORNIE.
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les ventes,degterrede bois ,et de lottide'Vitlegte'ile effectueronteii-uunoL
Il est évidenugliellcaffiiisement dans le'ndli-e bre des mineusyt deiouvelles découVerteS`d& mines, accroîtront proportionnellement ce revenu. Si les veines aurifères gont aussi abondantes et
aussi riches qu'olr'a tout lieu de le croire, et:A pourvu que les priviléges dont jouiront ceuiCe en entreprendront eexploitation soient bien définis et bien garantis par une loi, nul doute qu'on ne substitue bientôt des machine -à pliis parfaites, airtravail des bras , et la -puissance'illimitée eva peu r.,-1 cell e dee. btimni es : et alorle go atee g
m'émeut retireea,sans doute de l'exploitation des veines aurifères unirevenu égal, sinon supérieur, à Celui des chercheurs d'or dans les rivières etslëS' mines:sèches. 9 U1H' iikt5tienvisagerlasuestion,, que sous le rapport fiscal, le moyen que je propose serait plus profitable en définiteie que la vente des mieeS; gni- ne s'effectuerait .."qu'à vil- prix ,
à cause delrideilre.7
précaire de la: propriétel mais deplus cette mestiéé pourrait aNioir, pour effet d'organiser le pillage év, la guerre-eivile , et d'éloigner toute entreprige
ayant pour but l'exploitation en grand'cles firda1 -Les étrangers doivent, je crois, être eïclus travail des mines. Je,considère les richesses qu'el1e1:9::
renferment comme appartenant exclusivement au peuple américain i'riluiseul a le droli d'en joint.; toutefois je classe âu. 'Ionibre des Anaéricairis"lbe' C°2b.111.0% étrangersilégalement naturalisés.
Par cette interdiction , nous ne sef6ellibiseb exposés ,comme en 1849, au danger clieffliegéle'3 courir-sur notrei%ol 12 à 15.WOO`9-étraii.glede